Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1836, série 3, volume 10)

COMME MACiIINE SOUFFLANTE.

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VENTLIATE Un EMU,OYÉ,

ni2 g-,h X

in v x

in Ro) x au premier instant lorsque l'eau agit par choc seulement contre les cloisons ou planches h,

et dans les instants suivants, lorsque cette même

eau entrant sans choc pendant le mouvement pousse les cloisons avec une force dont il a été souvent parlé jusqu'ici , et dont le moment est donné par l'intégrale f2 in (,) tir x r w c = inCe kr comme ci-dessus. Tandis que la deuxième, au contraire, avant son départ, fait d'abord un effort me x R contre les planches h,

puis un deuxième effort in e x dît. à la réaction en n de l'eau sortant par l'orifice A, lequel effort est égal à A R' c x X IV= in R w pendant le mouvement,

h,

à A v 2g; x

V 2g-2 x e h,

__,-gh pendant le repos. Ce qui permet à la machine de surmonter plus

.<

facilement un obstacle accidentel qui se présente, par exemple une plus grande dureté dans le bois à scier, dans le grain à moudre, etc.

En revanche, la première roue se vidant au. centre, pourra tourner un peu immergée clans

les grandes eaux, et puis elle ne perdra pas de sa force comme la roue d'Ardes, dont les orifices expulseurs n , dans les chutes élevées, produisent toujours un peu de fumée aqueuse, en dispersant dans l'espace le liquide dont toutes les molécules Lien entendu, surtout près des parois et à cause de l'adhérence, ne peuvent s'écouler avec une vitesse relative R'(,), ou avec une vitesse absolue nulle

comme l'indique la théorie.

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Voilà les seules turbines, suivant moi , à employer jusqu'à présent pour utiliser les 70 pour Too au moins d'un petit volume d'eau. tombant d'une hauteur plus ou moins considérable , ou pour:éviter les frottements, dispersions liquides et autres pertes, en ne laissant subsister que les résistances assez faibles des de l'air environnant , et de l'eau qui descend pivots' lentement en grande masse dans l'intérieur des machines en question. Maintenant, sans parler de grands volumes d'eau

qu'on dépensera sous des chutes un peu élevées avec la turbine de Pont-Gibaud, eu injectant le

fluide sur tout le'contour à la fois, et en emproyant surtout l'évacuation alternative, afin d'éviter des chocs et dispersions très-pernicieuses, lesquelles auraient infailliblement lieu, à cause de l'adhérence du liquide sur les canaux courbes, alors

Même qu'on inclinerait beaucoup l'extrémité de ces derniers, j'arrive aux turbines à Petite vitesse et à grands volumes d'eau, susceptibles dans les fortes rivières à niveau variable de tourner immergées sans perdre de leur avantage, et qu'un mécanicien très-distingué IL Fourneyron) construit avec tant de succès à Gisors et autres points de la France. Dans ces machines l'eau motrice éprouve il est vrai un frottement sur les couloirs courbes o, o (11,z. 6), et ces derniers, à leur tour, dans le cas d'immersion, immersion, sont arrêtés par le fluide environnant , .mais comme la 'chute et la vitesse sont faibles les résistances ci-dessus ne sont plus aussi préjudiciables qu'auparavant ; et, d'ailleurs, le frottement de la turbine contre le liquide qui la nove , cesse jusqu'à certain point d'être une perte