Annales des Mines (1836, série 3, volume 10)
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COMME MACHINE SOUFFLANTE.
VENTILATEUR EMPLOYÉ',
s'introduire dans ce deuxième et y recommencer une action semblable à la première. Turbine à axe vertical avec manivelle supérieure pour mouvoir une scierie aux foréts d'Avèzc près Bourg-Lastic.
Fig. 5.
f tuyau nourricier de t'eau motrice, qui injecte cette dernière dans la roue horizontalement , tangentiellement
à sa circonférence intérieure 2rd11 , et surtout aussi près que possible de cette dernière, afin d'éviter les chocs et les jaillissements au dehors du liquide, et cela avec la vi-
tesse =
due à la moitié de la 2
chute totale h égale à 4 mètres. h huit cloisons méridiennes frappées par l'eau au premier h
instant avec un effort là
V2 g 2
(na étant
asse dépensée en une seconde ), et qui, lorsque la
circonférence de la roue a acquis la même vitesse Vg h 6'1,254, reçoivent les impulsions infiniment petites 2711w dr du liquide au fur et à mesure qu'il se rend au centre en sè dépouillant de sa vitesse P=RD). L section du paraboloïde dû à la force centrifuge et dont r'ca2
l'équation est z = 2g h orifice central pour la sortie de l'eau presque sans vitesse.
N. B. En bouchant cet orifice central k et en ouvrant
ou adaptant une ou plusieurs bouches latérales de sortie n à une distance R' de l'axe égale ou différente de R ou de celle de l'entrée du fluide moteur, on passera, rien n'étant changé d'ailleurs, de la turbine ci-dessus ( roue à poire ou danaïde perfectionnée ) à la turbine d'Ardes, dans laquelle
l'eau, en sortant en ii, réagira ou repoussera en sens Contraire l'orifice par où elle s'écoule,
Fig. 6.
5o5
Turbine immergée analogue à celle d'Inval près Gisors.
où une grande masse d'eau , injectée horizontalement sur des couloirs courbes , agit par sa ibrce centrifhge en se .mouvant dans la concavité desdits couloirs.
0,0,0 couloirs ou canaux courbes de la turbine, dans lesquels l'eau arrive sans choc pour sortir sans vitesse. p,p orifices injecteurs placés au bas du tambour ou bassin alimentaire q, qui lancent l'eau sous l'angle voulu pour son entrée sans choc et sa sortie sans vitesse. q bassin alimentaire, fixé ou suspendu solidement au canal supérieur r, qui amène l'eau motrice. t fourreau en tôle fixé au bassin immobile q, dans lequel fourreau se meut l'arbre té de la machine. Fig. 7.
Deuxième turbine immergéeour une dépense d'eau un peu moins grande et où le liquide dell , non par force centrifuge sur des canaux courbes, mais bien par réaction comme dans la roue d'Ardes.
'u,11 orifices injecteurs, adaptés au bassin alimentaire, qui
lancent, horizontalement et tangentiellement à la circonférence intérieure 27tE. de la turbine mobile, l'eau avec la vitesse V2 bo. 2 due à la moitié de la chute h.
orifices d'évacuation par où l'eau sort avec la vitesse h
't/2-
(R "R'), ( R' étant le rayon extérieur de la roue ), en exerçant une réaction et en évitant 2
d'ailleurs de frotter sur des couloirs courbes. y' intervalle, aussi petit que possible, laissé entre la roue mobile et le tambour fixe qui lui fournit de l'eau sur toute la circonférence. Bans cet intervalle se meut une vanne, c'est-à-dire .un cylindre en tôle avec rebords
entrant dans les canaux courbes o et les orifices p pour régler la dépense de la roue. Fig. 7. Deuxième coupe.
Turbine à réaction pour gaz comprimé.
y chaudière à vapeur, ou réservoir à gaz comprimé, Jan-