Annales des Mines (1837, série 3, volume 12)
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NOTICE GÉOLOGIQUE, ETC.
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vage et parfois le plus pittoresque. Nos peintres de paysage vont.chercher dans les Alpes et les
NOTICE
Pyrénées des sites qui sont certainement bien moins variés, moins imposants et moins-terribles que les roches de la Dent-du-Garde, de la tour du Verdier ou de celle du Chantois , et en général tous les rochers du défilé de la gorge de la Loire. Enfin, et en terminant, je répéterai, ainsi que j'ai dit en commençant, que peu de pays 'présentent réellement autant de témoignages de l'action et de l'influence des roches pyrogènes sur les terrains qui les recouvrent, que les mines d'anthracite de Fragny et des environs.
Sur le frei n dynamométrique, appareil servant àmesurer la force des machines à vapeur, des roues hydrauliques, et, en général, de tous les moteurs appliqués à des arbres de couche pour leur imprimer un mouvement de rotation. Par M. DE SAINT-LÉGER, Ingénieur des mines.
La publication de la note de M. de Prony sur son frein dynamométrique remonte à l'année 1 826, et, depuis cette époque, toutes les personnes, ayant quelques connaissances en mécanique, regardent comme incontestables les résultats qu'on
peut obtenir à l'aide de cet instrument, quand il est bien manoeuvré et bien disposé. Des expériences multipliées, exécutées par des ingénieurs, dont le nom seul suffit pour ne pas permettre de doute sur leur exactitude, ont été faites depuis lors avec le frein, notamment par M. Poncelet, Chef de bataillon du génie, par M. Arthur Morin, capitaine d'artillerie, et par M. Égen., ingénieur
prussien.
Le frein est donc aujourd'hui aux yeux de
tous les mécaniciens éclairés, un appareil qui a définitivement pris place parmi les machines que --l'industrie pourrait appeler à son aide avec confiance. Il s'en faut cependant que tous les industriels l'admettent également. L'ajustage et la matioeuvre de cet appareil offrent dans la pratique
Considérations préliminaires.