Annales des Mines (1838, série 3, volume 13)
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446 ses diverses réactions, présente beaucoup de pro-
babilités.
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logue au chromate de chlorure de çhrôme. Tout porte à croire, d'après cela, que le Chloride volatile de tunstène est composé cre'
67. Sur une nouvelle série de TILES nu CHLORE ; par
EXPInITS.
COMBINAISONS VOLA-
M. H. Rose. ( Ann. de
Pog. , t. 4o, p. 395.)
La découverte du chromate de chloride de
chrôme rendait indispensable un nouvel examen des combinaisons volatiles que le chlore forme avec les métaux. j'ai amené de l'acide tunstique à l'état d'oxide Ttmstérte. en le chauffant à une température modérée dans du gaz hydrogène ; puis j'ai chauffé l'oxide dans un ballon au contact d'un courant de chlore sec. 11 s'est forme du chloride mêlé à une petite quantité , et d'un chlorure rouge correspondant à partie supéen même temps il s'est déposé sur la rieure du ballon une certaine quantité d'acide tunstique. On peut séparer les deux chlorides :fun de l'autre au moyen d'une douce chaleur ; mais lorsse déque l'on chauffe brusquement, le chloride acide tunschlorure rouge, chlore et compose en l'on dépôt de cet acide que tique. De la vient le du ballon. L'aremarque à la partie supérieure cette circoncide tunsique qui se forme dansinsoluble dans et presque stance, est très-dense l'ammoniaque. J'ai trouvé dans le chloride de tunstène 0,6667 de métal. Cette proportion est beaucoup plus considérable qu'elle ne le serait dans un composé qui chlore; et ne contiendrait que du tunstène et du contraire , à celle que elle correspond bien, au renfermerait la combinaison 2-W.
W P, ana-
lrunstène Chlore Oxygène
0,648 0,242 0,110 1;000
L'oxide de molybdène, obtenu- en chauffant doucement l'acide molybdique dans du gaz hydrogène, donne avec le chloré:sec du chlôride et du chlorure, comme l'oxide de tunstène: 'Le
chloride ne se dissout que difficilement dans l'eau, et pour rendre la liqueur claire il est nécessaire d'y ajouter un peu d'ammoniaque. L'analyse en est difficile , parce que, pour doser le chloere:, est indispensable de précipiter d'abord le molybdène, le chlorure d'argent retenant toujours Une
quantité notable de molybdate-, même quand on le traite par un excès d'acide nitrique. Pour fnire
cette analyse, j'ai précipité Te molybdène par l'hydrogène sulfuré dans une dissolution acidifiée par l'acide nitrique, et jé n'ai cessé d'y ajouter de l'hydrogène sulfuré que lorsque la liqueur
a perdu tout à fait la couleur bleue qu'elle prend. d'abord : puis je me suis débarrassé de J'excès d'hydrogène sulfuré à l'aide du sulfate de cuivre, et j'ai précipité le chlore par lé nitraté d'argent. Quant au sulfure de molybdène; ayant delepeei-', je l'ai amené à l'état de protosulfhre en le che. faut dans du gaz hydrogène, -qui n'a aucune sur ce dernier sulfure. Quoique le résultat del'e nalyse n'ait pas été bien rigoureux, il pour prouver que le chloride -de niolySL dène est analogue au chloride'de tunstèrie,'étkiiiit suffitpendant
est composé de
Molybdène.