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DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE.

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TERRAINS DE TRANSITION ET PORPHYRES

Dans les parties du terrain où se trouvent des Schiste feldspathique au milieu couches d'anthracite, le grès ordinaire alterne du grès. avec quelques bancs très - minces d'un grès fin schisteux, jaunâtre, ou des schistes proprement dits, formés des débris les plus fins du porphyre. L'émail blanc que ces roches donnent au chalumeau atteste suffisamment leur origine. On rencontre de ces schistes, avec empreintes de tiges végétales, près de Neullize et à Naconne. Les couches d'anthracite sont généralement enveloppées au toit et au mur par quelques bancs minces de schistes très-fins, qui sont généralement plus durs et d'une teinte plus claire que les schistes siluriens proprement dits ; ils sont d'ailleurs feldspathiques, et quelquefois même partiellement porcelanisés , nouvelle preuve de l'influence ignée que ce terrain a dû éprouver. Le combustible est un véritable anthracite Le combustible minéral est un contenant peu de matières volatiles. Sa pureté est véritable anthra- très-variable selon les localités. Les couches sont cite. peu régulières, sujettes à de fréquents rejettements , et les travaux entrepris jusqu'à ce jour d'une faible importance. La stratification du grès anthraxifère est rareLe grès anthraxielle fère repose en ment bien prononcée à la base du terrain; stratification la partie supérieure, où se troutransgressive sur est plus distincte à les schistes silu- vent généralement les couches d'anthracite. Lorsriens. dessinent nettement, on recon( Fig. 9 et 16. ) que les bancs se naît qu'ils reposent ordinairement en stratification transgressive sur les couches calcaires et schisteuses de la formation silurienne ; néanmoins il est des localités, entre autres le mont Urfé que nous avons déjà cité, où non-seulement il semble y avoir parallélisme dans la stratification, mais encore passage d'une formation à l'autre. Les

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schistes perdent insensiblement leur schistosité, se

présentent en couches plus puissantes, et, en se chargeant de grains feldspathiques, passent aux grès anthraxifères qui eux-mêmes alternent ensuite avec un conglomérat. L e porphyre graPassons à quelques exemples. Le porphyre granitoïde est particulièrement ,

ineit°,,ildaeteauoccaucpcie_

développé entre les vallées du Lignon et de l'Aix denté qui sèl).-

aux environs de Boën, l'Hôpital et Saint-Martinla-Sauveté.

ro les deux valtees paralleles d.

l'Aix et du Li..

Entre Train et Bon, la route départementale gnon' qui conduit à Montbrison est bordée à l'ouest par un escarpement de roches porphyriques ; la masse

principale se compose de porphyre granitoïde, roche formée par des lamelles de feldspath opaque, qui se croisent en tous sens, et entremêlées de feuillets de mica d'un vert terne. Le quartz, si même il existe, est fort rare et en grains trèspetits. Le feldspath est nuancé de blanc, jaune, rosé et rouge ,et souvent le même échantillon offre

ces diverses teintes réunies. L'escarpement est

traversé par des filons de porphyre quartzifère que l'on reconnaît facilement à leur pâte, aux nodules

de la substance tendre, jaune (pinite?) et à la rareté ou à l'absence complète du mica. L'un de ces filons est criblé de très-petits cristaux de pyrites de fer. Le porphyre granitoïde se prolonge le long du Position relaLignon jusqu'à Leigneux , et en continuant vers live d. Ir rPhYre Sail-sous-Couzan , on peut observer des masses sgcri','insitL:sïdsiehiriedres du grès sr' de schiste de transition enclavées au milieu de ces et thraxifère à Lei-

porphyres : ce sont des grès fins schisteux, verdâtres , amphiboliques , d'Une dureté moyenne, et traversés par des veinules de spath calcaire. Ils

sont redressés à peu près verticalement par le por-