Annales des Mines (1841, série 3, volume 19)
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EXTTIAITS.
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membrane, se portent sur le disque de zinc. On obtient une empreinte en creux en plaçant sur le disque de cuivre la médaille elle-même que l'on veut reproduire; -mais si l'on y place un cliché de cette médaille, cliché qui se fait le plus souvent en zinc ou en plomb, on obtient une empreinte en relief'.
L'objet dont on veut prendre l'empreinte peut très-bien n'être pas métallique : il suffit de rendre
sa surface conductrice au moyen d'une légère couche de graphite très-divisé, ou mieux encore d'argent en coquille. _Notice sur un mémoire relatif à la généralité du.MAdyfrrismE ; par M. Haldat. ( Compt. rend. de l'Ac., t. 12, p. 950.)
Il résulte des-expériences que j'ai faites en suspendant à des fils très-fins, entre deux aimants., des aiguilles préparées avec diverses matières et que je faisais osciller, que le fluide magnétique exerce son influence sur tous les corps, mais à des degrés très-différents, et si différents que, tandis que quelques-uns manifestent leur puissance dans toute circonstance, et sans aucune influence étrangère, il y en a dans lesquels elle ne devient appa-
rente que quand. ils sont en rapport avec des corps qui en jouissent au plus haut degré.
iippctreil pour mesurer les GAZ; par M. Per-
soz. (Ann. de Ch., t. 75, p. 21.) L'ensemble de l'appareil se compose d'une cuve
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à mercure proprement dite a; elle est de fonte, de la forme d'un cylindre étranglé dans sa partie inférieure, et se termine par un tuyau également cylindrique a'; cette cuve est supportée par trois pieds en fer forgé b,b,h, liés ensemble, et fixés à la cuve a par les cercles c, c, et les écrous en , c' ,.c' . A la partie inférieure du tuyau a' est fixé, à l'aide de solides boulons, un disque en fer d muni d'une rondelle; ce disque d est percé d'un trou où se place un tube en verre e courbé à angle droit. Ce mêmetubee, exactement scellé au disque
fer e',
d à l'aide du mastic, communique d'une part avec l'appareil dont le gaz doit se dégager, et de l'autre avec la partie supérieure du vase gradué, dans lequel doit se faire l'évaluation du volume de gaz. Sur les bords supérieurs de la cuve de fonte se trouvent implantées à égale distance, et à l'aide d'un pas de vis, trois tringles en fer T, T, T, destinées à maintenir la cloche graduée G dans une position verticale. Pour que ces tringles ne puissent pas elles-mêmes dévier de la verticale, elles sont fixées par leurs parties supérieures, à l'aide d'écrous, à un cercle de fer qui les rend ainsi immobiles. ( ,Voy. Pl. V, ,fig. 2 et 3.) La cloche G n'a besoin d'être graduée qu'a ses
deux parties étranglées Q et P, puisque, dans une expérience bien fuite, ce n'est que là que doit s'effectuer le mesurage du gaz. Maintenant , il ne nous reste plus qu'a dire un mot du jeu de l'appareil, pour faire comprendre l'emploi de deux pièces dont il n'a pas encore été fait mention ici. Lorsqu'on veut, dans une expérience
,
évaluer le volume du gaz dégagé, on
abaisse entièrement la cloche de verre graduée G, et l'on évalue, dans sa partie étranglée Q, la 28 Tome XIX , x841. -