Annales des Mines (1841, série 3, volume 20)
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1. Dans le fourneau de Clerval , où l'on ne consomme que du charbon de bois, la proportion
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de vapeur d'eau contenue dans le gaz diminue rapidement de im,33 à 2"',67 de profondeur au-
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dessous du gueulard ; les autres principes consti-
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des limites peu étendues.
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que l'acide carbonique et l'hydrogène diminuent. A la profondeur de 5-,67 , l'acide carbonique a complétement disparu , et la quantité d'oxygène combinée dans le gaz en sus de celle qui correspond à l'azote, s'est abaissée de 16,4 à i,5, c'est-
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à-dire au 1/10 de ce qu'elle était au gueulard. La proportion de vapeur de carbone, rapportée too volumes d'azote, reste constante jusqu'à 4 mètres de profondeur. A partir de ce point jusqu'à 5m,67, elle varie de 31,3 à 27,7. La différence 3, 6, représente 119 de la quantité totale de
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et de la rustine, à Audincourt, ne peuvent pas représenter la composition moyenne de la tranche
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gazeuse, puisqu'il faudrait admettre que le gaz abandonne la moitié du carbone et la presque totalité de l'excès d'oxygène qu'il contenait pour arriver au sommet des étalages, conclusion qui serait absurde. Il est, je crois, très-facile de don-
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charbon. 3. Les résultats des analyses du gaz pris dans l'ouvrage et sous la tympe du fourneau de Clerval,
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2° A mesure qu'on descend dans le fourneau, de 2rn,67 jusqu'à 5m,67, on voit la proportion d'oxyde de carbone augmenter, en même temps
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L'examen des tableaux précédents conduit aux conclusions suivantes , que je présenterai pour chacun des fourneaux successivement.
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DES GAZ DES HAUTS-FOURNEAUX.
RECHERCHES SUR LA COMPOSITION
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