Annales des Mines (1841, série 3, volume 20)
Page : Image 272
Révision de 16 août 2014 15:09:38, edited by Anonymes
534 9,'
1.1 0 --:+.c> 0
o j`;'5;
'Ë
-,'P,
1
DES MINES DU ROCHERBLEU.
RAPPORT SUR LA MACHINE D'ÉPUISEMENT
b
'
'à 0
P,4
g,)
Cv-n
combustible a été moindre que celle que ron avait annoncée, tandis que reflet produit a été
,,<"'2,
a..,
- ,...7"
- 0
t0
e
'5', cl , E-'j,,,, E
' il r-. 0 0
0
cv-
.
0e
M
'C0
0 .0 ,
0C. ' .
...,
Ot ci
tr>
a;
cc
Q
e 0>
el
t,... el -é'
.
e.0 M M N,
. 0
c7,
.2...
e
g
plus considérable. La colonne (9) donne les consommations qui correspondraient aux effets, pro-
mis par M. Taylor : les chiffres qu'elle renferme ont été calculés d'après ceux de la colonne(6), en supposant dans chaque expérience les consom-
mations proportionnelles aux produits ; ce qui n'est pas rigoureusement vrai, mais peut être considéré comme suffisamment exact, lorsque .ces produits restent compris dans des limites aussi 000
000
co
ÔQe QCqQQ
e Cl Q C)
Cl
e-1
e
N
cc o cc
Cl
L-'-0-
?Xoidtua aivsnqmoD
eQ e o F.'"oe .-à
-S1ESSa Sap
e;
..-I .
cc
aapao.p soa9un15j
535 En rapprochant les uns des autres les chiffres des colonnes (6) et (8)de ce tableau, on voit que, dans chaque expérience , la consommation de
C) el
,,CD CC c.,
resserrées.
Enfin, la dixième colonne donne les consom-
mations par force réelle de cheval, cette force étant mesurée par le produit des pompes. Les chiffres de ces consommations , qui sont déjà extrêmement faibles, devraient encore être réduits si on voulait les comparer à la consommation des machines ordinaires, dont la force ne
s'estime pas par le débit des pompes, mais se mesure surla machine elle-même, indépendamment des artifices qu'elle met en mouvement, et dont en outre la force nominale est toujours un peu inférieure à la force réelle. Il n'y aurait certainement rien d'exagéré à réduire tous ces chiffres de 1/5 , si l'on voulait faire la comparaison dont il s'agit. Parmi les observations que pourrait suggérer l'examen du tableau j'en signalerai principalement deux, relatives, ci-dessus' rune au minimum de consommation, l'autre au rapport des effets calorifiques de la houille et du lignite. On remarquera en premier lieu que, bien que dans tous les essais la consommation de combus,