Annales des Mines (1842, série 4, volume 1)
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MÉMOtËE SUIÏ L'EXPLOITATION DES MINES
une pOrtibri quelconque de la initie autre que la chambre du Davy man, et des hommes qui avaient fait infraction à cette règle Ont été menés devant les magistrats et condamnés à des peines' assez gravés: Le nombre dés lampés de sûreté employées dans
DE HOUILLE DE NEWCASTLE.
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et J. Robert, dans lesquelles la gaze métallique est entourée d'un cylindre en cristal qui-s'étend sur tout ou partie de la hauteur. Ce cylindre est pressé coutre la partie supérieure du réservoir par une virole en cuivre placée au sommet de la lampe ; enfin l'air est amené sur la mèche par une espèce
lé district de Newcastle est considérable. Dans lés' mines difrigéespar M. nuddle , il y éh ado t,obb
d'entonnoir renversé, après avoir
près de 9c5i5 da Ws les seules Mines du naarquiS dé'
deuxième cylindre métallique est placé à de. pouce du premier, et peut se lever au besoin, pour donner plus de lumière, quand l'air n'est pas trop chargé; 3° celle du docteur Clanny, qui imagina de placer autour de la gaze métallique
à 1,5oo' tour l'usage journalier ; o en &Mite
Londonderry. Enfin il y a dés niines où l'on ne peut employer d'autre lumière ; les ouvriers Sont alors tellement intéressés à la bonne discipline de
lampes, qu'ils sont eux-Médie chargés de les' Soigner entièrement. PerfectionneTout 16 Mende sait, et sir flumphry Davy lui-. rrats,aamPpPe"tdé:riiênie. avait reconnu, qu'il y a certains cas- où' sa' sûreté. lampe- n'est plus efficace. Néatirribin.S., én 1839,' M. lluddle disait que, pendant Vingt ans' dé sér vice, il n'éeait à sa connaissance-, arrivé aucun ac-' cident dû Pemploi de la lampe desûreté , satif
les cas où l'imprudence et l'entêtement des ouVrieis les portaient à enlever la toile Métallique
pour Obterii.:r plus de clarté. Cette diminution de' lumière estén effet un des pins grands défauts dé la lampe'dà Davy, ét oi a cherché à y remédier par pluSieiirS moyens. Nous né ferons que citer lei les prétendus perfectionnerrientS ,qui ont été si ul tipliàdareS CeSderiiierà temps, bien que nous
n'en .ayonS Vu aucun appliqué stir une grande échlîè.bang" tôtts le principe est lé même ; c'est in'Opriété possédée par les toiles" Métalliques dè Ife> pas laisser passer la- flamme, que sont fôiidéefeS diVerSég- tainpes imaginées. Nous citerbns seuh'Inient : re's lampes' d'Il-1)ton tibujoiri:g Stir
toiles métalliques placées au fond du résertraversé-sieurs voir; ; 20 la lampe de Newman, dans laquelle un
deux' ou trois écrans maintenus à, la partie sup&rieure par de petits fils de laiton; quand l'air devient inflammable, la, température de la, lampe s'élève , les fils de laiton sont fondus et les écrans viennent successivement diminuer les ouvertures qui servent à l'introduction de l'air dans la-lampe. Dans l'enquête de la Chambre des cOrnmunes sur les accidents-dans les mines, M. Gurneyproposait de- supprimer complétement la lampe de sûreté et de n'employer pour toute la mine qu'un seul foyer de lumière placé â-la surface ou sous terre.
Ce foyer consisterait au maximum en7lumières; avec des réflecteurs parabohques- disposés en un cercle de trois piedS de diamètre. Pour éclairer les différentes parties de là mine, on emploieraitdes miroirs plans disposés sous une inclinaison convenable; des verres plans ou-lenticulaires seraient placés dans lesportes pour laisser passer ou concentrer en un point la lumière qu'ils recevraient. Il est difficile de concevoir l'application
en' grand d'un pareil système; la quantité de
Éclairage
par réflexion,