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AFFINAGE nu FER, ETC:

1.),SSODS maintenant aux changements à faire

dans le procédé lui-même. On doit viser surtout à remédier aux pertes énormes de chaleur qui ont lieu chaque fois qu'une opération partielle se termine, puisque l'ouvrier refroidit alors .presque complétement le foyer, pour construire le feu de

RÉ1SULTATS PRUNitlIPAUX Des travaux exécutés clans le laboratoire- de Chimie de Vesoul, pendant l'année 1841. Par M. DROUOT, Ingénieur des ,mines.

brasque. C'est ce qu'on a déjà fait en partie à Dongo en formant les cotizzi dans mi foyer à part.

Pans les. usines où se trouvent seulement deux feux d'affinerie, il parait difficile d'arriver à une meilleure combinaison. On pourrait bien proposer

de faire le niazéage et les cotizzi , dans un des deux feux , tandis que dans l'autre on s'occuperait sans interruption de l'affinage. Mais pour que cet

ariangement fût réellement avantageux, il faudrait que toutes les opérations de mazéage se fissent à la suite les unes des autres, ce qui dérangerait l'équilibre dans l'activité du travail. On pourrait le faire dans une usine à trois foyers où deux seraient alors employés à l'affinage, et le troisième aux. deux premières opérations. On réduirait enfin de beaucoup la consomma-

tion en faisant marcher de front les chauffages des lopins et l'affinage, au lieu de les séparer complétement comme on le fait aujourd'hui. Rien ne peut s'opposer à ce changement.

Essai de trois échantillons de houille du terrain des marnes irisées de l'arrondissement. de Litre, Haute-SacIne. Le terrain des marnes irisées, ou terrain supérieur, renferme, dans le département de la HauteSaône comme dans le département des Vosges, une couche de houille qui se trouve entre la grande assise de dolomie et le dépôt gypseux qui, lui-même recouvre le sel gemme. Cette couche de houille, presque plane, et plongeant de 4 io degrés vers le sud, se trouve ordinairement entre des bancs d'argile schisteuse noirâtre, et

quelquefois aussi entre des bancs de grès ;argileux et quartzeux à grains fins. Elle existe partout dans les marnes irisées: du département de .la Haute-T

Saône , mais elle n'a pas partout une puissance suffisante pour être exploitée. Cette puissance n'e"xcède jamais om,6o. Lorsqu'elle semble dépasser

cette limite , c'est qu'il existe un lit d'argile schisteuse qui divise la couche et lui donne une apparence de renflement. Le combustible est loin d'être pur. Il renferme, outre l'argile disséminée ou distribuée irrégulièrement dans les différents lits, des pyrites en veinules et en rognons, dont la quantité s'élève quelquefois à 7 p. 0/0 de la houille.