Annales des Mines (1842, série 4, volume 2)
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DES CALABRES ET DU NORD DE LA SICILE.
SUR LES GITES MÉTALLIFÈRES
ena deux dominants N. S. et E. O.; que ces veines oUt , été métallifères (cuivre gris-pyriteux, bournonite), sans que les minerais aient eu une teneur
constante ; que lesdites veines ne renfermaient, comme tous les autres gîtes de Sicile, les Matières exploitables qu'en lentilles alignées dans les plans d'inclinaison; qu'elles ne Paraissent pas s'être dérangées réciproquement ; enfin qu'elles semblent
constituer, ainsi que je l'ai déjà dit, un véritable St.Ç.It6.kiverek
, où l'ir)n .ne saurait définir, d'une ma-
nière pdiàiye_;,1.és-:..points:les p 1US productifs. .
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'.9:-)13'. Mines ' itd. Calabre. .-t, , :i-lf
No 5 r. Dans la province de Reggio, et presque enfal.,. eiMessine,,yient se terminer à la mer une ri7%/ iè,re ont les bras portent différents noms, mais ci( 'p'...'iP,i'll d- iciu é e sur beaucoup de cartes comme 1,4ibpuchure du Fiume - Cenide qui prend Sa source dans les hauteurs d'Aspromonte. Après. avoir dépass,é,les terrains tertiaires si remarqUables des alentours de la Cecina, on tombe près de' San-Rosali sur une masse de granite qui se prmlonge au loin dans la .montagne. C'est dans ce gratee b.il'entrée du vallon de la Contrada Rocca,Apeufeent ouverts, en 1,755, deux groupes de reehelies. Dans la première de ces tentatives, deux galeries peu longues ont procuré quelques rares rognons de galène, engagés dans une veine de quartz sans suite dirigée S. r o° E. avec pente de 200 à
l'eÙSe perdant insensiblement dans le granite lui niênie. La ilenXième tentative (rive gauche de la rivière)Ayait une ouverture aujourd'hui cachée sous
lesatterrissements et une autre dans un talus plus élevé. La -richesse .en argent de la galène (r) déLor,,
Savarese et ses collègues étudiaient à Frey-
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termina les anciens à suivre le travail sur une assez longue étendue , mais il fut sans résultat. N° 52. De San-Rosali , on peut gagner facilement l'Aspromonte par le chemin de Fiumara di Muro et celui tracé dans les granites ou les gneiss qu'adoptent les muletiers lorsqu'ils veulent s'enfoncer des rives de Reggio dans l'intérieur de la Calabre, par l'ancienne route de Piano di Melia. Les terrains tertiaires, ;et d'alluv,4na,e. nappes étendues à, çette.e.aede hatiteuk,,sontkçle,:belles études pour fixeelés;.,,poques..4uxqirelles 's'est formé le relief cl'4promonte Qnsiencourage de ni plus en plus discet orsque après plus avoir dépassé les granites atiXigiieek gelo
,
on gravit les parties
leà'plekeéeSi'i
présentent à chaque instant des gneiss ed'es râle schistes engagés clans ces e a nit es atiiljoell4,"Si connus +dans les Pyrén'éëeècimme caractère; du groupe du Canigou. (4 ài,,i4V,e,le0)(iiedeluelque ,
temps, sur la serra Pianabii P'i4o'cl'AsPrOriifinte, dont le sol de terrains '»récenits, laisse seniétieet pointer de loin en loin des écailles cle»gneiss et de micaschiste ou des buttes arrondies clè: gÈanite. En se dirigeant vers les cabanes des bdcherons,
on parvient à une contrée datiejaquelle deux scieries sont occupées à débiter 'dés 'planelieS de pins et de sapins de la plus belle venue. berg, en 1794, un ancien maître fondeur, Jean-Cristian Heischer, leur dit que la galène de San-Rosali rendait 68 pour :100 de plomb, et que chaque quintal de plomb (79k,370) fournissait 10 onces (:264gr,50 ) Il leur annonça pareillement que la veine se p'èieit après un travail de peu de durée .(clopo qualche tratto'cli tempo), et qu'il ne fut pas possible de la retrouver ni dans le même
endroit, ni sur le bord opposé de la rivière. (1VIelograni. Descrizione g eologica di Aspro-Monte. )