Annales des Mines (1843, série 4, volume 3)
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TRAVERSÉE DES MORTSTERRAINS
.°: ,D'une,elavette (Pl. r, , fie. ,i,J4) qui passe dans le pied du postillon t ce pied traverse d'ailleurs toutes les pièces précédentes. Cette clavette est percée d'un trou qui reçoit une goupille
7. D'une masse cylindrique en plomb qui se place sous la croix en fonte (PI. F., fig. i 15 ).
8° D'une platine enfer battu qui s'applique sous
la masse de plomb (Pl. r, fig. i 16 ). 9° Enfin, d'une clavette semblable à la prepremièe (Pl. F . , ,fig. t i 4 ), qui traverse le pied dupostillon ; ce pied traverse encore les pièces
goupille de la deuxième cla-
vette ,de, §-yet ses deux branches toujours ou-
vertes. qua.96l1je ,postillon fonctionneji car sans ce14 sef4h>ekl.e,s. parties pourraient se d ésassembl er , 9k,rson :ffleourrai t les sortir de la travaillante .spe,Jaifflionter au jour. Ce .poekumest. descendu dans la travaillante mise bops ,-créta.ih, fonctionner par suite d'accident survenu à la soupape ,d'aspiration. au moyen du câble «engin. Il vient s'appuyersin le sommier fixé entre,'Ila chapelle et la travaillante. On redescend le piston et on l'attelle à la maîtresse tige, cle mani.4 e'au point le plus bas de sa course, ril, ne puie retoucher l'anse du postillon. Celui-ci 'est retiré de Ja travaillante dès que l'accident sur.
venu à la soupape d'aspiration est réparé, et par le même moyen.qui a. servi à l'y descendre. L'anse du postillon doit, être saisie par un crochet qui puisse s'échapper-aisément, dès que le câble d'engin n'est plus chargé. Le postillon pèse 41o. kilog.
(P/j/, fig. 117.) Cette figure représente le jpostillon toutmonté. Son poids doit être tel qu'il ne puisse danser dans la trav ailla nte ,,ciu and bien même
DANS LE NORD DE LA FRANCE.
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l'eau serait arrivée, à 2 ou 3 mètres au-dessus du gobelet en fonte. Il peut être calculé facilement dès que l'on connaît en centimètres carrés les partie S pleines qui sont battues par l'eau au moment de l'aspiration. La pression ,en atmosphère exercée par l'eau sur ces parties est 'd'ailleurs connue dès que l'on se fixe un niveau à 2 ou 3 mètres au-dessus
du gobelet par exemple. Si le postillon venait à
danser dans sa travaillante, il pourrait briser le sommier sur lequel il s'appuie et ) tomber dans licchapelle ; il faudrait alors renfonter la travaillante et,la diviser : ouA3ien le piston à sa descente pourrait venir battre Sûr l'anse, et il en résulterait la rupture du pied du.piston ou celle de la tige en bois. Dansle preitrier cas, il pourrait se faire que l'on fût obligé de rerenter la travaillante; dans le second, il faudrait ettleVer toutes les
soulevantes supérieures au point de rupture, et faire -descendre dans 'Ce-s"Seulevantes .Un homme pour les accrocher au cible d'engin: Les pompes élévatoires sondes' seules quel'on ne Jeux de doive adopter dans leifonçagé des aValeresses; pompes adopcela résulte de la naturWilriême..dU travail. Tout ter en avaleresse, le matériel des pompes, soitdu fond, soit du jour, doit être établi de telle manière que l'on puisse
le descendre et le remonter en toutes circonstances; cette condition indispensable ne pourrait
être satisfaite en faisant usage de pompes aspirantes et foulantes dont les- travaillantes et les colonnes d'ascension ne pourraient fonctionner sans être fixées solidement au cuvelage. En outre, les pompes foulantes occupent plus de place que les pompes élévatoires, et, lorsque la niasse d'eau
affluente est considérable, il importe avant tout de ne pas encombrer inutilement la fosse.