Annales des Mines (1843, série 4, volume 3)
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CHIMIE.
des corps solides qui ne subissent eux-mêmes aucun changement dans la réaction ; par exemple,
la décomposition du bioxyde d'hydrogène sous l'influence ;de divers corps, la décomposition du
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des ezernples,!Kibinemihreux dans lesquels la, écomposition duit'corpsgazeuX est pruffluée par un corps solide ; nous avons au contraire, de nombreux exemples de ,décompositions de ce genre entre des corps liquides et cànclpsçp,nt est.p.
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EXTRAITS.
métani ue dans im mé,ilaeg ii,%çes gaz, leur comte *g dn s'effe'et* âeriptsice Jr l a ,syfiface méta-Pei-UW.(1 '
chlorate de potasse par l'oxyde de cuivre et autres bases fixes.
On doit; avant de pouvoir étudier pourquoi certaines réactions chimiques ont lieu sous l'influence de corps qui n'y interviennent que par leur présence, chercher à se rendre compte de la manière dont les corps qui ne se combinent pas chimiquement, se comportent quand ils sont mis en contact immédiat. :t On peut démontrer, avec la plus grandefacilité, l'attraction qu'un corps solide exerce sur iiu,00rps gazeux, en employant le premier deSiiii'edÈ tel qu'il présente la plus grande surface p4ible sous le plus petit volume, en feuilles très-rithiles , ou, mieux encore, en poudre impalpable. Le clearbon et beecoup de substances très .peu
le platine, par exemple, qu'on peut obtenir dans un état de ténuité extrême, se prêtent parfaitement à ces expériences. J'ai calculé, dans le tome I°.. de mon Traité de Chi/nie , la surface que représenterait i pouce cube découpé en petits cubes de ,17= de pouce de côté par deux séries de tranches perpendiculaires. Elle équivaut, en négligeant la grosseur des cellules, à Io° pieds carrés. Si l'on prépare une substance quelcorigne dans un état de ténuité tel qu'on puisse supposer que Sa
division ne s'est arrêtée qu'à son atome , ou au moins à un degré dont on connaisse l'approximation, on peut encore calculer la surface qu'elle représenterait.
Torne Iii, 1843.
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