Annales des Mines (1843, série 4, volume 4)
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fig. 1, 2. Étuve en fonte, formée de cinq, plaques qui sont réunies par des clavettes, et qui s emboîtent à l'aide de rainures. fig. 1, 2, 3. Petite cheminée, soit rampant du premier compartiment. Petite cheminée, soit rampant du deuxième compartiment. ccce. Petite cheminée qui circule autour de l'étuve, la-
quelle part du rampant B, et s'ouvre dans le ram-
pant D. Plaques mobiles à l'aide de charnières qui forment la partie supérieure de la cheminée tournante. ÉPÉE Ouvertures pratiquées dans les parois en maçonnerie, par lesquelles on extrait les sulfates qui se déposent dans la cheminée. cecc. Ces ouvertures sont fermées à l'aide de tasseaux en briques. Plaques mobiles au nombre de trois , en fonte ou en plâtre, qui recouvrent l'étuve lorsque le schlich y a été introduit. Plaque servant de fond à l'étuve et faisant la paroi inférieure de la cheminée tournante. La partie centrale de cette plaque a la forme d'une trémie ouverte à la partie inférieure en G. Sur trois côtés de cette ouverture est ajusté un canal composé de trois plaques, 1, 2, 3, qui laissent entre elles un passage pour le schlich. La quatrième paroi de ce canal est formée par la -
partie verticale de la plaque P, qui est en tôle fig. 6, 7. Ouverture pratiquée à la voûte dans laquelle est placé un cadre en fonte h, fig. 3, 4, par laquelle le schlich tombe sur la sole du fourneau. L. Tampon en fonte qui ferme l'orifice ; il est mobile à l'aide d'un petit chariot en fer a, fig. 4, 5, que l'on fait mouvoir sur une plaque de fonte. Dans la position