Annales des Mines (1845, série 4, volume 7)
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NOTICE GÉOLOGIQUE, ETC. P. Saint-Lazare. 100: P. Michon. P. Gerbaudiére. P. du Chatai.nier. P. la Planche. P. Villon. P. des Ronces. 99. P. Ganthier.
P. Malassagne.
101. P. Teillard. 105, P. Delay. P. Bazardon. P. de la Pompe. P. de l'Espérance. P. Jamen. P. de la Découverte. P. Mouton. P. Sourent. P. Saint-Germain. P. Journoud. P. Bazard.
P. du Couloux. P. Neuf Mortier. 111. P. Madignier. P. Bouton. P. des Vignes.
P. Jarnen. P. Jean-Pont.
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P. de Tremolin P. du Rocher P. Saint-JosePh
MÉMOIRE
P. Neuf Bi',theno.d
P. des Alouettes 170. P. des Bruyères. P. Sainte-Mélanie P. Neuf Belingard.
P Bressieux. P. Duroseil. P. Brosse.
P. St-Bonaventure. P. Saint- Dorninip P. Neuf. P. Saint-Victor P. Pire-Jacques. P. Saint-Charlee, P. Neuf de la Frarie. P. Neuf Mondorier P. de Montjoint. P. 'Télégraphe. P. de la Barrière. P. Saint-Jean. P. ? 151. P. de la Verrerie. P. de la Pomme. P. Lacroix. P. Chantegraine. P. Saint-Jean. P. P. Coste. P. Saint-Esprit. P. Saint-Germain-Petit, P. Bourguignon. P. Sainte-Marie. 120. P. Fleur-de-Lis. P. des Pauvres. 162. P. Saint-Pierre, 1111. P. Besson. P. de la Compagnie. P. l'Espérance. P. Chambeyron. P. Combelibert. P. Saint-Martial. P. ? P. Bélingard. P. P. Saint-François. P. Faure. P. Saint-Innocent, Saint-Constanl' P. Aloyse. P. des Limites. P. des Chantières. P. Egarande. P. du Verger. P. /d. P. Thévenet. P. de la Flache. P. ? P. Saint-Maximin. 161. P. Grappe. P. Jordan. P. des Combes. P. de la Gde -Borne. P. Adrien. P. des Pièces. P. Vieux Buer. P. Gabriel. P. du Cimetière. P. Neuf du Cerisier. P. Gonon. 131. P. Pic-Pierre. 168, P. Vieux du Cerisier. 201. P. Saint-Jean. P. Neuf Pic-Pierre. P. Neuf Suer. '205. P. Saint-Marcelin, P. du Pré. P. des Durantières.
Sur le traitement métallurgique des minerais d'or et d'argent en Hongrie et en Transylvanie. Par M. AUMBERT, aspirant-ingénieur des mines.
INTRODUCTION.
La méthode suivie pour le traitement par fusion des minerais d'or et d'argent était autrefois uniforme dans toutes les usines de Ilongrie. On sait qu'elle consistait en principe à isoler entièrement le travail des minerais auro-argentifères de
celui des minerais de plomb, et à n'employer comme agent de désargentation que le plomb métallique dans des conditions propres à réduire à leur minimum les pertes éprouvées sur ce métal. Les minerais de plomb étaient rares, il était donc essentiel de ménager l'agent indispensable de la production, et tandis que depuis longtemps le procédé d'imbibition était remplacé à Freyberg par des méthodes moins imparfaites, on se voyait forcé à le maintenir en Hongrie, afin de ne pas ralentir l'activité des exploitations. On pouvait d'ailleurs prévoir que la méthode saxonne ne présenterait pas tous les avantages qu'on lui avait reconnus à Freyberg ,la nature éminemment quartzeuse des gangues des minerais hongrois devant nécessairement augmenter encore les pertes en plomb si considérables, qu'on éprouve en fondant les minerais argentifères mélangés aux galènes grillées; aussi, tous les essais tentés sur /a fin