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PROPR/ÉTÉS PYROÉLECTRIQUES

vient d'une troncature sur l'arête d'intersection de

fet g; elle est arrondie et on n'a pas encore pu la mesurer au goniomètre.

Ils sont ordinairement isolés et engagés dans

'mi calcaire compacte.

Silicate de zinc de Scharley près Tarnotvitz (fig. 8). Les cristaux sont également tabulaires; l'une de leurs extrémités est terminée

par lés 'faces d qui sont seulement tronquées lé-

par c: nous n'avons pas pu observer

erement autre extrémité.

Quelquefois ils sont isolés dans une calamine ferrugineuse; le plus ordinairement ils sont réunis et engagés de manière que la série des faces c pro-

DES MINÉRAUX.

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Dans quelques cristaux qui sont placés diagonalement par rapport aux autres, on peut observer la deuxième extrémité ; elle est terminée par les faces s, comme pour les cristaux. d'Altenberg. Les faces b sont légèrement, striées verticalement. Outre les cristaux que nous venons de décrire, on trouve dans des druses des environs de Nert- schinsk des échantillons clans lesquels les faces/ et 3d dominent et quiont enoutre les faces d mais très-rétrécies : ils ont alors une grosseur considérable; ainsi M. Rose -en a reçu de M. NV'ôrth , de pouce de lonSaint-Pétersbourg, qui avaient

duise une espèce d'arc ; on rencontre aussi au Bleiberg des cristaux analogues. Silicate de zinc de Rezbanya (fig. 6). Le Musée royal de Berlin en possède quelques jolis cristaux blanc bleuâtre et à faces bien brillantes

gueur sur une largeur de i pouce. Ces gros cristaux sont aussi rayés suivant les faces g, et les

les faces 3 d, d et c; on trouve aussi les faces

correspondante au pôle analogue, tandis que

- qui se trouvent au milieu de cristaux mal formés ils sont tabulaires, et leur extrémité libre présente

=lei; et les petites faces triangulaires z qui sont

placées d'une manièr-e toute particulière à l'extrémité des 'arêtes d'intersection de cl et de 3.d. Ces cristaux ont deux à trois lignes .de longueur.

Silicate de zinc de Nertschinsk (mines Il-

deschansk) (fig. 7). Ces cristaux ont environ pouce de longueur, niais ils sont très-peu épais et tabulaires ; le plus ordinairement ils sont rén-

nis en touffes. Leur partie supérieure, qui est libre, est remarquable par le développement des faces 3 d; il Présente aussi les faces/et quelquefois c, 2 f et 3f (fig. 7b): mais alors ces dernières sont très-réduites.

facesf sont mattes. Le silicate de zinc est très-fortement pyroélectrique ; les cristalix ont été échauffés jusqu'à 400; l'extrémité supérieure des figures (voir la F1.111), qui ordinairement est libre,, fut toujours trouvée

l'extrémité inférieure correspondait au pôle ctntilogue. Le cristal maclé d'Altenberg présente des pôles analogues à sa partie supérieure et inférieure; des pôles antilogues , suivant le plan commun. Des expériences qui précèdent, on doit donc conclure que le silicate de zinc a un axe d'électricité qui

se confond avec l'axe principal du cristal: au pôle analogue, les prismes horizontaux dominent et les

octaèdres à base rhombe ne présentent que des faces très-étroites; tandis qu'au pôle antilogue il n'y a ordinairement que l'octaèdre à base rhombe ou bien il forme des faces arrondies avec le prisme de la forme primitive.