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133:11.ATION DES ;FORGES

DE FRANCÉ efiDE flG1QUt.

stances de leurs-localités; celle qu'elles doivent attendre de let:us:droits.; et apprécier ainsi exac, tcment les conditions de-.1'avenir de chacune d'elles, dans le cas de mesures que des vues d'in, térêt social pourraient conduire à fairaudopter. .Cette étude ne serait .tfailleurs relative qu'à l'état actuel de la fabrication du fer; mais il est, pour cette:industrie, d'autres moyens nouveaux que l'on a:tentés sur plusieurs points, toutefois

d'priteIté, en n'étànf'dIllivrés par ceux qnfils'ifig

sans des succès complets. L'exposition suivie de l'emploi de ces nouveaux moyens et, surtout, de ce qui leur a manquéjusqu'à

d'industrie.

présent, l'indication et la théorie des conditions remplir; .pour obtenir, d'après eux, positives des résultats voulus, exposition possible à faire aujourd'hui , serait l'un des ouvrages les plus utiles et les plus importants à produit e sur cette indus,. trie, le plus propre à développer.ses progrès, à trans-

former ses conditions, et le seul qui .puisse, sur ces matières , avoir à l'avenir de l'intérêt. Mais le temps où les conditions actuelles

pourront se trouver transformées par suite de l'adoption de ces nouveaux moyens,. se trouve encore trop éloigné pour influer en rien sur l'état de la fabrication que nous avons inthquée,:ni empêcher en aucune manière, pacces considérations, les mesures que l'on pourrait prendre, ni les conséquences auxquelles nous sommes arrivé à son égard. De semblables renseignements suries industries difiérentes qui ne présentent aujourd'hui que des positions craintives, et qui ne voient qu'un avenir

inquiet, résumeraient toutes difficultés; mais il faudrait savoir les obtenir sincères; tandis que bien souvent, il faut l'avouer, tous les chiffres

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téréssent; 'rfue pour ciieller leur position ou d rir Uux yeux de tous l'état où ils se,troMeni

peuvent que conduite à de grandes' erieUrs',.efil nous a paru qu'il pouvait -être utile de'PréSenter «déjà du moins pour l'une de ces indiaitrieS, ésition réelle; en attendant que des méi'ens déendantS' du Pouvoir 'aient pu procurer 'des* renSeignements analogues stW fq autres branches

PREMIERE PARTIE. Forges

l'eau de la Marne.

Ces usines, donttle .nombre, et l'impQrtance peu-

vent être appréciés par la seule inspection :de la carte indiquant leurs situations respectives et,représen tée (PI. X ,Jig. t), possèdent un système coinplet,de. moyens de .fabrieation , avec leurs ...acces-

soires, pour le travail des matièresitbrutesElles ont eu général, un baut-fournean, uirtfourapuddler et son marteau cingleur une chaufferie etsonniarteau pour les gl os fersdecOmmet ce:, et un martinet POU' les petits fers marchands. La foreeanotrice nécessaire pour faire mouvoir tous ces' appareils, :est .fout nie par des roues hy-

drauliques. Les unes font aller -les bocards, les patouillets0e martinet et sa soufflerie; les autres, les soufflets du haut-fourneau et de la chaufferie, et les deux marteaux. Nous aurions pu, comme études de prises c_le mouvements, donner les plans et lesdispositionsde nombreuses forges à l'eau de ces contrées. Mais,