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DESCRIPTION DU DÉPÔT, ETC:
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posaient le soufre en arrivant au contact de l'air atmosphérique.
DESCRIPTION
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De même que le soufre, le sulfate de baryte a dû se trouver en dissolution dans les eaux et avoir été précipité par quelques causes particulières, car il occupe un niveau déterminé au-dessus de la coude de soufre en rognons, et dans son voisinage on rencontre les traces des végétaux fossiles. Il est
donc très-probable que le sulfate de baryte
,
se
Des gîtes métallifères, de lcirerépïte" mécanique et dU traitement rekeedlute
des minerais de plomb aro *fele Pontgibaud.
Par M. RIVOT, ingénieur des mines, et M. ZEPPENFM;
trouvait dans ces eaux à l'état de sulfure de bari um, et qu'au contact de fair *il s'est oxydé et il s'est changé en sulfate de baryte qui a formé les géodes remplies des cristaux de ce minéral. Il est difficile de dire sur quelle roche coulaient
ancien élève de l'École des mineurs de Saint-Étienne.
les sources qui ont produit ces riches dépôts de
PRÉFACE.
soufre : elles pouvaient sortir soit du calcaire corallien, soit du grès carpathique. Il est peu probable
qu'elles soient sorties du calcaire, car les roles les plus voisines de Kwidwanow ne présentent ni ouvertures ni altérations quelconques. Il est vraisemblable au contraire que les issues
des sources hydrosulfiques doivent ètre recherchées dans le grès carpathiques , car le dépôt de soufre situé à Zielone, près de Urzoszowice, est placé au milieu des grès carpathiques et il est lié ,
avec le dépôt de Szwoszowice.On conçoit d'ailleurs
que les traces de ces anciennes exhalaisons aient pu disparaître pendant les bouleversements plutoniques qui ont fbrtement agité cette région des environs de Cracovie avant qu'elle eût pris sa configuration actuelle.
En décrivant les mines que possède la Société de Pontgibaud, les travaux faits dans ces mines à différentes époques, les difficultés qu'on a dû vaincre pour amener l'exploitation à son état actuel en indiquant les résultats obtenus, nous désirons citer un exemple des richesses minérales que ren-
ferme le sol de la France, et montrer en même temps, par un cas particulier, quelle somme de persévérance est nécessaire pour mettre en bonne exploitation des filons métallifères.
A l'exemple des mines de Poullaouen et de Huelgoat, en Bretagne, exploitées sans interruption depuis plus d'un siècle, nous voulons joindre celui des mines de Pontgibaud, dans lesquelles la reprise des travaux date de vingt ans à peine. Nous espérons que dans un avenir assez rapproché l'exploitation des mines de plomb, cuivre, argent, zinc, étain, etc., dans l'Aveyron, dans la Lozère, dans le Morbihan, et probablement dans Torne ..x-P Trn, 1850.
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