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Oh' brûle dans une coupellation de 981 à 990 fa-
Combustible.
427 dertout l'argent desmdittudagoa flation, se Uouve augmenté ET 'USINES DE PONTGIBAUD.
DESCRIPTION DES MINES
' gots; nous devrions dire on brûlait, car depuis
aieenktilles dé la coupellation précédente, c'est-à-
quelque temps le rampant a été considérablement rétréci et amené aux dimensions que nous avons données plus haut ; la consommation de fagots a --diminué jusqu'à 75o pour 9.000 kilogrammes de
JEdire de 3_.k4.kilogrammes.
plomb d'oeuvre. de coupellation.
Nous réunissons dans un tableau les frais de coupellation, rapportés à la charge ordinaire
9.000 kil., et les frais rapportés à Loo° kil. de
9 plomb d'oeuvre. o
FRAIS DE COUPELLATION DÉSIGNATION.
Matériaux pour la coupelle
pour 9.000 kilogr. de plomb.
pour -1 1.000 kilogt
fr.
fr.
de plomb:
44,10
4,90
2,00
0,22
Fagots: 990 fagots.
55,00
6,10
Usure des outils.
10,80
1,20
0,36
0,04
62,00
6,90
6,00
0,66
180,26
20,02
Pulvérisation.
Réparations au fourneau. Main-d'oeuvre de coupellation
Transports divers
Les frais sont maintenant (185o) un peu moins élevés : on ne consomme que 750 fagots au ligu île 990. La différence est de .13 francs environ pour une coupellation entière, et de 1'44 pour 1.000 kilogrammes de plomb.
D'un autre côté, les frais nécessaires pour la préparation des litharges sont assez notables, et le rendement du plomb en argent brut, à la coupel-
eno,elous beeuvons pas donner les frais de prépafi ration des litharges; les appareils n'ont pas fone-
P,4ionnéassez régulièrement, ni,pendant assez longtemps encore (i). Comme on a raffiné l'argent brut jusqu'en 184'9,,edllelnarns"egnet ,._ ,,,et comme les considérations économiques que nousi présenterons tout à l'heure s'arrêtent à la campagne 1848-49, nous pensons devoir décrire le raffinage. -
brut est fondu dans des creusets en I?1L'argent plombagine, avec une petite quantité de nitre et de quartz. Les creusets ont : hauteur, om,3o; diamètre en haut, o,18; diamètre à la base, om,o9.
Un creuset peut contenir 19 à 20 kilogrammes d'argent et les réactifs nécessaires; il coûte 9 francs. Les creusets sont chauffés successivement dans un fourneau analogue à ceux qui , dans les laboratoires, servent pourles essais de fer. Les dimensions principales sont les suivantes m.
Section horizontale ..... 0,5o sur
m.
o,5o
Profondeur jusqu'à la grille. o,6o -Section du rampant. . . . . o,5o sur o,o8 Section de la cheminée. . . o,5o sur o,15 Hauteur de la cheminée. . . 5,00
?mie Le raffinage est fait par le contre-maître de %sine , assisté d'un ouvrier, et en présence de l'inge'nieur. (1) Jusqu'à la fin de 18(19 les litharges ont été préparées
comme dans les autres usines, sans appareils spéciaux. Le triage et la séparation des grenailles de plomb étaient faits à la main par les ouvriers. On payait 6 francs pour la préparation et l'emballage en barils des litharges provenant d'une coupellation.