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PRÉPARATION MÉCANIOUn
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DES MINÉRAIS DJ
elle peut être déversée, en nappe continue et directement, sur la table A par le conduit s, et la caisse s, disposée sous la tête B , et qui laisse couler l'eau par un déversoir de niveau avec la surface de la table. TOUS les tuyaux et. conduits peuvent être fermés à volonté par des vannes en bois , manoeuvrées à l'aide de leviers (i). de diaUne petite roue en dessus de à 25 tours large de 2i=om,576, faisant 20 mètre suffit parfaitement pour mettre en par minute, appareils de palettes, servant mouvement deux à deux systèmes de tables dormantes. Il faut à peu près 6o'0 d'eau par minute, soit t'YI-34, pour mettre la roue en mouvement. Cette quantité répond h moins d'un cheval de force pour la roue.
Trois séries de bassins R R, sont
disposées
entre lés trois systèmes de tables dormantes : cha-
que série se compose de huit ou dix bassins, communiquant entre eux par des déversoirs,
PLOMR.
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Le canal général P est en communication aven Je dernier bassin de débourbage du planherd , et dans certains ateliers , dans lesquels on ne travaille que des minerais pauvres, il conduit directement les eaux au ruisseau. Nous décrirons l'opération pour les schlamms retirés du labyrinthe. Il n'y a de différence entre les trois systèmes de tables, que par la quantité d'eau; et par le soin apporté par le laveur.
La table étant bien nettoyée, les ouvertures a b fermées, le laveur soulève la plaquette 1, la lavée se répand sur la table, et coule assez rapidement vers le pied; quand elle est arrivée à l'ouverture c, l'ouvrier abaisse la porte 1, et fait arriver l'eau pure par s. Armé d'un rable en bois, analogue à ceux qui servent pour les caissons, il fait
descendre lentement vers le pied les schlamais pauvres, mais eu ayant soin de ne toucher que la surface
- quand il est arrivé jusqu'au bas de la
larges de 2':_-_-om,576, longs de 4 à 5'=_-t1,152 im,44o, profonds de n3" à 24"=om,432 àom,576. Chaque série de bassins est affectée, non pas à un système de tables, mais aux produits correspondants de toutes les tables dormantes; ainsi une
table, il ouvre b, et recommence le travail , en descendant toujours de la tête vers le pied, et en achevant de purifier le schlich, qui doit rester bien pur sur la table. Le laveur ouvre alors a et passe
la dernière, celles des rainures c. Le dernier bassin
et bien la nettoyer avec un balai; le gamin ferme ensuite a b, et l'arrivée de l'eau par le conduit s.
série reçoit les eaux qui s'écoulent par toutes les rainures a; une seconde, celles des rainures b, et de la première série correspond avec le premier
de la seconde; le dernier de la seconde avec le
premier de la troisième , et le dernier bassin avec une rangée de grands bassins de dépôts extérieurs. (i) On n'a pas cru nécessaire de représenter là dispeoition des vannes et leviers,
à une autre table, pendant qu'un gamin vient
Faire couler par a tout le schlich resté sur la table,
L'enrichissement des schlamms, en opérant ainsi sur de très-petites quantités à la fois, et sur des tables très-longues, est produit presque entièrement par le courant d'eau, et le travail de l'ouvrier est extrêmement simple il lui suffit de quelques coups de rable , donnés légèrement à la surface de la lavée, pour faire entraîner par l'eau toutes les matières fines légères. La séparation de
Travail,