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cessairement frapper le ressort EF. Ce ressort s'ouvre alors ou se brise, et le câble devenu indépendant peut tomber au fond du puits. Tel est le résultat que M. Fontaine s'est proposé d'atteindre. Nous dirons plus loin, en rendant compte des expériences auxquelles le parachute a été soumis, jusqu'à quel point ce résultat a été Traverse supérieure en fer de la cage.
e Chape servant
de support.
obtenu. Nous avons déjà donné au sujet de cette traverse KL
des détails suffisants. Nous rappellerons seulement qu'elle est percée en son centre d'un oeil cylindrique de 63 millimètres de diamètre. La partie GH de la tige du crochet passe dans cet oeil et peut s'y mouvoir facilement dans le sens vertical. En dessous de la traverse supérieure KL , une pièce horizontale en fer n est engagée à demeure sur la-vis
à filets rectangulaires de la tige du crochet. Cette pièce (fig. 9, lo et 11) est terminée à ses deux extrémités par des chapes dans lesquelles les bras du parachute sont assemblés à articulation. Lorsque l'on suspend la cage au câble d'extraction,
la tige GH du crochet d'attelage glisse dans l'oeil M de la traverse KL jusqu'à ce que la chape n soit en contact avec cette traverse. C'est alors sur la chape que porte directement toute la charge. Il est important que ce mode de suspension soit invariable, que la tige du crochet ne puisse pas, par exemple, prendre en se dévissant un mouvement relatif. La stabilité de l'assemblage est obtenue au moyen d'un boulon P (fig. 9), qui traverse la chape et pénètre jusqu'à une certaine profondeur dans une cavité ménagée sur la tige du crochet.
Elle est encore garantie par un écrou Q (fig. 2 et 4) placé sous la chape et serré contre elle. Traverse à coulisses.
'DE M. FONTAINE.
PARACHUTE
Cette traverse en fer RS (fig. 12 et 15) est fixée par des boulons et des écrous sous le châssis supé-
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rieur en bois ab de la cage. Elle présente à, son centre un oeil cylindrique T , de 38 millimètres de diamètre, dans lequel passe l'extrémité de la tige du crochet.
La traverse RS est pourvue des deux côtés de fourches ou coulisses dans lesquelles doivent glisser les bras du parachute. Ces coulisses sont complètement ouvertes à leurs extrémités et terminées vers le centre de la traverse par des plans inclinés U,U dont la pente est déterminée Nous verrons ci-après d'après quelles conditions cette pente est calculée et à quoi servent les deux plans inclinés.
Ces bras, au nombre de deux, sont en fer forgé et
de la forme indiquée sur les fig. 4, 14, 15 et 16. Ils sont armés à l'une de leurs extrémités de griffes aciérées destinées à mordre dans les guides. Ils pénètrent par l'autre extrémité dans les chapes. de la pièce horizontale n et y sont retenus par des boulons à clavettes.
Les bras du parachute passent dans les coulisses de la traverse RS : ils sont mobiles, le long de ces coulisses, autour de leurs axes de suspension, et peuvent par suite former entre eux un angle variable. Dans l'état ordinaire des choses, lorsque la cage est suspendue au câble d'extraction, cet écartement est tel que les extrémités des griffes sont à une distance l'une de l'autre un peu moindre que l'intervalle i in, 20 entre les deux guides. Cette distance est de im,15 , et la traverse à coulisse RS
est construite de telle manière que les bras du parachute s'appliquent alors exactement sur les plans inclinés U. Dans ces conditions la cage peut monter ou descendre dans le puits sans que les griffes touchent la surface antérieure des guides. Mais si l'on suppose que
la tige du crochet d'attelage soit rappelée de haut en
Bras
du parachute