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DANS LE BASSIN DE COMMENTRY.
ÈxnurrAtioN DE LA 1-MUTA,:
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les unes à la suite des autres dans le sens de leur iongueur, et de les accrocher toutes, puis de les pousser successivement vers le puits à mesure que le câble s'élève. La manoeuvre est la même, soit au fond du puits,
soit aux accrochages des remblais. Au jour, on les pousse sur les wagons plats que l'on repousse ensuite pour livrer passage au convoi vide. De la charge
La charge des câbles plats pendant les postes de peut s'établir de la manière suivante
des câbles plats; char,D
kil.
Une chaîne-câble de 8m. de longueur et 0,05 de diamètre Un fléau à 4 bennes bennes vides. 14 hectolitres charbon Ensemble
184 140 652
1./ 20
2.096
Ces câbles ont on', 14 de large sur o,o35 d'épaisseur, c'est donc 42 à 45 kilogrammes par centimètre quarré de section. Cette charge pendant les postes de rembiais, devient kil.
Chaîne-câble. Un fléau à 4 bennes. 3 bennes vides C`,32 foisonnés ou omc,88 massifs grés et schistes houil-
184
ho 489
lers (en admettant 2.000 kilogr. pour le poids spécifique moyen de ces roches) Ensemble
1.760
2.575
C'est donc 52 à 53 kilogrammes par centimètre quarré. Ainsi ces câbles travaillent vingt à vingt-cieux
heures par jour, sous. une charge moyenne de 47 à 48 kilogrammes par centimètre quarré ; leur durée de dix-huit mois à deux ans, suivant l'état des llohineS.
puits. Ils s'enroulent sur des bobines entièrement en fonte
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et fer ou à cerveaux en fonte avec rayons de bois. Les noyaux sont en fonte, les rayons en fer forgé boulonnés avec le noyau, les couronnes en fer mince et composées de plusieurs secteurs rivés sur les extrémités des
rayons. Ce genre de bobines est inaltérable, mais il présente un inconvénient ; quand les puits sont humides, il faut pour préserver les câbles les graisser de temps en temps, ce qui les rend glissants, surtout lorsqu'ils sont à demi usés. Les spires cherchent alors à s'appuyer sur les rayons, et à moins d'avoir une grande épaisseur, ceux-ci ne peuvent leur offrir un point d'appui suffisant. Dès lors ils peuvent se placer de champ et s'engager de manière à arrêter la machine. Cet effet ne se produit pas quand les câbles sont maintenus dans un
état à peu près sec. Ces bobines sont du reste trèslégères et conviennent sur les puits donnant peu d'eau. Le deuxième genre ressemble à celui que j'ai donné
dans le mémoire déjà cité, tome III de la 4. série des A nna les des mines; seulement les bobines actuelles sont
plus légères et renferment un plus grand nombre de rayons. Elles se composent, comme on le voit, d'un cerveau en fonte sur lequel sont boulonnés un certain nombre de rayons en bois terminés par une circonférence aussi de bois, formée de plusieurs secteurs fixés sur les extrémités des rayons par des vis à tête fraisée. Elles conviennent mieux que les premières sur les puits humides ; en effet, leurs nombreux rayons en bois pré-
sentent aux câbles vieux et bien graissés des points d'appui solides et rapprochés. Pour fixer les câbles plats sur ces bobines, on peut s'y prendre de plusieurs manières ; une des plus simples consiste à fixer le câble
au noyau par quelques, fortes vis engagées danF la Conte.