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cure chargé de pyrite de fer, mais onsideé comme bon à fondre. 2° La seconde pellée contient de la galène et de la pyrite, à peu près dans les mêmes proportions que le schlich soumis au lavage; elle doit être ramenée au lavage sur la même table. 5° Les sept pellées suivantes donnent du schlich py. riteux bon à être envoyé aux usines. 4"rout le reste doit être enrichi et donne ultérieure. ment du schlich pyriteux. L'essai à l'augette indique celle des opérations précédentes à laquelle il convient le mieux de le soumettre. Le lavage des sables moyens est, comme on le voit par ce qui précède, fort analogue à celui des gros sables; il donne les mêmes produits 10 Du schlich plombeux aurifère; 2° Du schlich plombeux non aurifère de deux qua-
lités; 5° Du schlich plombeux très-chargé de pyrite de fer;
4° Du schlich pyriteux. Traitement des sables fins provenant du troisième laLes opérabyrinthe ou de la troisième spitzkasten. tions se suivent à peu près dans le même ordre que celles précédemment décrites ; chacune d'elles exige plus de temps, parce que le dépôt des sables plus fins se fait bien plus lentement. Première opération.
EN HONGRIE.
voyAuE
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La trübe arrive sur chaque table pendant vingtquatre heures sans interruption ; l'eau entraîne au moins les deux tiers des matières, et principalement les sehlamms qui sont mélangés en forte proportion avec les sables lins. Il résulte de cet entraînement des matières fines par l'eau une perte énorme eu métau. précieux. Sur la tablé restent environ 7 q. met., qui sont divisés de la manière suivante
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i° Les deux premières pellées passent au travail d'enrichissement sur la vôrdere Heerd. 20 Les trois pellées suivantes reviennent sur la même table.
5° Tout le reste est ordinairement trop pauvre et trop fin pour qu'on puisse le laver avec bénéfice. La proportion des matières perdues est donc beau-
coup plus forte que pour les gros sables et les sables
moyens. On ne retire pas du premier lavage plus d'un douzième de sables destinés aux opérations suivantes.
Enrichissement des sables restés en tête de la table.
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On fait arriver très-lentement la trübe , de manière que l'eau n'entraîne pas au delà de la table plus du cinquième des sables. Il faut vingt-huit heures pour couvrir la table de 7 à 8 q. inét.. Les produits sont 1° Une tranche de om, o au plus auprès de la tête peut être considérée comme du schlich plombeux ; il doit passer au caisson à or, parce qu'il contient ordinairement un peu de ce métal. 20 Une seconde tranche, à peu près égale à la première, donne du schlich plombeux non aurifère, bon à fondre.
5" Les deux pellées suivantes sont du schlich plombeux de seconde qualité, rendant 'à l'essai de 3o à 55 p. 100 de plomb. Il serait impossible de l'enrichir sans perdre une proportion très-forte des métaux ; aussi l'envoie-t-on aux usines.
4° Une pellée encore de la galène mélangée avec de la pyrite de fer ; il faut soumettre ce mélange à un la-
vage spécial, afin d'en retirer une certaine quantité de schlich de plomb.
5° Le reste des matières jusqu'au pied de la table contient beaucoup de pyrite, avec une proportion plus
Seconde opéra Lion.