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rneips ç9nwl4e pyrite de fer, au moins pour les parties provffle des difficile par l'Altération plus
Matières: laltérées.
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11 à
Les produits de cette préparation mécanique sont IP De l'or argentifère, provenant de la distillation de
anciennes excavations. On sépare dans les produits de l'exploitation : i° Les matières pyriteuses altérées, qui sont un mé-
l'amalgame;
lange de boues ferrugineuses et de fragments encore durs ; elles contiennent toujours une proportion de métaux précieux assez forte pour qt,te leur préparation donne des produits bons à fondre ; 2° Les parties dures non altérées du filon ; elles contiennent du quartz, de la pyrite aurifère et argentifère; 5° Les fragments quartzeux, renfermant peu de py, rite, et dans lesquels les veinules ou les mouches de minerais d'argent sont visibles. Nous donnerons seulement la marche de la prépara. tion mécanique adoptée pour chacune de ces trois espèces de minerais. Les matières ferrugineuses altérées presque complétentent sont d'abord bocardées ; la trabe est conduite sur des toiles inclinées qui retiennent une petite poportion d'or, et successivement dans des labyrinthes et des bassins de dépôt.
énorme; il est impossible de la constater par des essais. Les parties peu altérées, données principalement par l'exploitation des massifs laissés intacts par les anciens,
On obtient ainsi :
a Sur les toiles inclinées, les sables les plus lourd§ et les parcelles d'or les plus grosses. On lave les toiles, dans des cuves, et le dépôt est traité au caisson à or ; Wb" Dans les labyrinthes, des sables gros, moyens
et fins, qui sont enrichis sur trois systèmes de tables dormantes; c Dans les bassins de dépôt, des boues très-légères, qui sont lavées sur de longues tables jumelles. On traite au caisson à or les sables des toiles inclinées, et les produits aurifères du lavage aux tables dormantes. L'or obtenu au caisson est amalgamé.
2. Des schlichs ferrugineux aurifères et argentifères.
La perte en métaux précieux est nécessairement Parties dures, non altérées,
du filon.
eut soumises d'abord à un cassage et à un triage. On sépare une certaine proportion de pyrites assez riches pour qu'on puisse les expédier à l'usine. Les autres parties sont envoyées au bocard et traitées par une méthode analogue à celle que nous avons indiquée précédemment. On n'obtient ordinairement que très-peu d'or à l'état d'amalgame ; le produit presque unique est
du sclilich pyriteux plus ou moins riche en or et en argent.
Les fragments de quartz qui contiennent des minerais d'argent, tels qu'argent natif, argent rouge, cuivre
gris, etc., sont soumis séparément au cassage et au triage. On obtient :
i° Des minerais très,riches en argent, qui sont enusine pour être passés dans la coupellation ; Des minerais bons à fondre, mais qui doivent passer à toutes les opérations du traitement métallurgique; 50 Des menus du cassage assez pauvres, qui doivent voyés 2°
etre bocardés très-fins. Comme ces minerais ne sont ordinairement pas aurifères, les sables du bocard sont classés directement dans des labyrinthes et bassins de dépôt, et enrichis ensuite sur des tables dormantes et sur des tables jumelles. Cette préparation mécanique donne du schlich argentifère de deux qualités et une proportion assez faible de
schlich pyriteux. Ces produits doivent être passés aux
Quart, avec veinules et mouches de minerais d'argent.