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EN HONGRIE.
VOYAGE
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d'argent. Il en résulte une dernière cause de perte, qui s'ajoute à celles déjà très nombreuses des grillages et des fontes successives.
5° Crasses plus ou moins riches, qui sont toutes repassées dans l'opération. 40 Scories assez riches en cuivre, mais assez pauvres en plomb et surtout en argent ; elles sont fondues dans les Kup fer autlôsitng On a Exemple de cette fonte à l'usine de Fernesy. fondu en 9 jours Or. Argent.
Cuivre.
Plomb. 4.
76,61 20,10 Mattes grillées. 201,60 Soit pour 1.000 kil. 100 kil. 366 kil.
h.
h.
11,025 0,545
0,035
la
On a mis dans le creuset, pour désargentifier matie: 179`',65 tenant argt.
or.
11,40
.
.
01,0875
Les matières employées contiennent donc, en négligeant les métaux contenus dans les scories 109g',75
Plomb.
Cuivre.. Argent
121,425 01,1225
Or.
l'apport du plomb à l'argent. Produits.
.
885:i.
La fonte a donné les résultats suivants Plomb.
Crasses de liquation. Plomb. Matte
.
q
.
34,72 163,52 165,20
Cuivre. Qui
21,53
4,86
o
70,207
Argent. k.
1,085 5,11 6,80
Or. k.
0,525
On a donc obtenu, en métaux utilisables Plomb. . . Cuivre. . . Argent. . .
soit 92,5 p. 100 du plomb total. 75,077 soit 97,9 p. 100 du cuivre. 6,195 soit 50 p. 100 de l'argent.
185,05
Le plomb obtenu est soumis à la liquation, ce qui donne du plomb pur, employé pourles différentes dés argentifications , et des crasses ( Saiger Krâtze), qui sont repassées dans les fontes cuivreuses.
La matte destinée à l'usine de Felsôbanya tient en cuivre 42 p. 100 et 92 p. ioo du cuivre des maties fondues. Frais principaux de cette fonte rapportés à i.000 kil. :
Total
io q. m. grenailles de fonte.
Plomb pauvre.
La perte notable est donc sur l'argent; cela provient de ce que nous n'avons pas compté comme métal utilisable l'argent contenu dans le cuivre noir.
Main-d'oeuvre. . . 6i,496 Charbon 3891,00 à it,20 Grenailles de fonte 501,00 à 11'0.5
On a employé comme fondant et comme réductif : 100 q. m. scories cuivreuses.
265
fr.
5,i45 4,668 5,575 15,388
D'après les exemples cités jusqu'ici, on voit qu'il faut employer une proportion de plomb d'autant plus grande que les mattes renferment plus de cuivre et moins d'argent ; et aussi la différence entre les deux modes d'emploi du plomb métallique ou des matières plombeuses, n'est pas seulement déterminée par la pauvreté ou la richesse des mattes en argent et en or, mais encore, dans la dernière fonte, par exemple, par la nécessité d'obtenir du plomb peu cuivreux et des mattes peu plombeuses. Fonte des scories riches (Schlacken Schmelzen). - Les scories provenant des fontes des minerais et des mattes riches en or contiennent touj ours une proportion assez notaNe de ce métal ; il est facile d'en retirer la plus grande
partie en fondant les scories avec une proportion convenable de pyrites de fer grillées; mais les frais sont assez élevés, et par conséquent l'opération ne peut être faite que sur des scories un peu riches, et dans le cas