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SUR LA IVFACIIIM D'ERICSSON.
arbre sont réunis par un, balancier triangulaire, dont l'axe porte sur des supports solidement assujettis entre les cylindres travaillants, et qui se meut dans l'espace libre intermédiaire entre les cylindres travaillants et les cylindres alimentaires supérieurs'. Les balanciers sont liés aux pistons par un simple anneau sans l'intermédiaire de parallélogrammes. Ils transmettent le
et 3e' pouces (om,76), de diamètre,. dont. deux sont les cheminées des foyers, et deux servent à l'issue de l'air expulsé des cylindres travaillants.. Les soutes à charbon sont allongées sur les deux côtés -de la chambre des machines et séparées des foyers par un espace où circule librement le chauffeur unique qui suffit à l'entretien des huit foyers. La place occupée par les machines est, malgré les dimensions considérables des cylindres, beaucoup moindre que celle qu'occupent, dans les navires de même force, les, machines à vapeur avec leurs chaudières. Les explications données par le capitaine Ericsson
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mouvement à l'arbre des roues par des bielles obliques, inclinées, dans leur position moyenne, de 45 degrés
l'une en avant, l'autre en arrière du plan vertical passant par l'axe de cet arbre, perpendiculaires par conséquent l'une à l'autre, et agissant sur le bouton d'une manivelle simple qui se trouve au milieu du navire et. de l'intervalle entre les roues.. Les secondes extrémités de ces bielles sont attachées en des points des balanciers qui décrivent des arcs de cercle, dont
les cordes sont parallèles aux directions moyennes des bielles. Il suit de là que l'arbre des roues, conduit par- les deux. bielles au moyen d'une seule manivelle, commeil,..1.e.serai.t.par deux machines à double effet dont
1e.4:.ylindres seraient inclinés chacun de 45 degrés sur
le, plan horizontal, reçoit un mouvement de rotation très-régulier. Toutes les personnes admises à bord de l'Ericsson, lors de sa: première excursion dans le bas de la. rivière et
la: baie de New-York, s'accordent à, dire que tous ces agencements mécaniques sont beaucoup moins compliqués et embarrassants que dans les bâtiments de même forée portant des machines à vapeur, et se font remarquer également par leur simplicité et la régularité du mouvement da rotation imprimé aux roues.. Le pont supérieur du navire est dégagé: de toute ohstruc,tien, sauf les deux mâts et l'espace occupe,, au centre par quatre tuyaux de lo. 12 pieds:de hauteur
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aux personnes invitées à l'excursion qui eut lieu le Li janvier 18.55 , dans la baie de New-York, peuvent être- résumées comme il suit. Ses projets primitifs com-
portaient des cylindres de 16 pieds (4',8.77) de diamètre; mais les constructeurs n'ayant pas voulu se charger de les lui livrer, il a été oblige da se contenter des. cylindres actuel§ de 14 pieds;, aujourd'hui Tes mêmes constructeurs, MM. llogg et Delamater, offrent de fournir à leurs. risques et périls des' cylindres alésés ayant jusqu'â. go piedS(&"o.96): de diamètre. Sula chose était à faire, il na changerait rien à ses' premiers projets etvoudrait avoir des cylindres de' L6 pieds. La pression de l'air échauffé sur les pistons moteurs ne doit pas depasser .12 livres par pouce quarr6 (ok,8-4 par centimètre
quarré). au-dessus de la pression atmosphérique. Il vaut mênie mieux s'en tenir à une pression moindre, Io livres environ par pouce quarré (o',7o3 par centimètre quarré)-. Dans le voyage d'essai et dans la traversée de New-York à. l'embouchure du Potomac, cette pression a été limitée à 8, livres (ok,56g par centimètre pané).. Si l'on veut augmenter la puissance dus machine, il faut accroître-le diamètre des cylindre