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EXTRAITS
MINÉRALOGIE.
Analyse de la triphylline de Bodenmais ; par RAM31ELSBERG. Ph05.
Fe0.
(Pogg. Ann., t. LXXXV, p. 439.) MnO. LiO. Na0. KO. HO. Sioa.
39,35 41,32 40,22 41,95
41,42 42,15 37,30 39,01
9,43 8,11 10,98 10,69
Total.
7,08
1,07
0,35
1,28
»
99,98
7,48
1,83
0,82
»
0,09 0,40
99,03
(Pogg. Ann., t. LXXXV, p. 435.)
29,36
18,77 14,44
30.75 30,68
'28,92
MnO. 6,12 9,07
CuO.
(Atm:. de chim. et de phys., S'a., t. Xply, p. 171.)
MgO.
0,66
»
»
0,14
HO.
Total.
Densité.
17,00 16,98
102,66 100,23
3,247
(Jahrb. pr. Pharm., t. XXIV, p. 357.) SiO3. 4,73 3,27
Fer03. Al203. 1,55 3,44
3,33 1.34
730. 40", ele 117 50 (Phillips).
Sur la forme .dés mica; Par IL de SÉNARMONT.
Analyse de la calamine de Wiesloch ; par WANDESLEBEN.
33,73 33,53
Clifton M/M
La fig. 5 représente un cristal de Gcethite du pays de Siegen 1170 45', ela 42 à 1i5°, la face a est arrondie.
En cristaux petits, transparents. FeO.
(Même ouvrage, p. 70.)
La fig. h représente un cristal mince du fer hydroxyde de 4,403
Analyse de la childrenite ; par RAMMELSBERG.
Al203.
Sur la lépidokrokite ou goethite ; par G. ROSE.
Densité.
>1
PhOs.
337
ZnO. 56,55 58,18
CdO.
0,035 0,027
AS. 0,0053 0,0016
Sur la strontianocalcite de Girgenti (Sicile); par GENTIL (Journ. de Sillim., 2' s., t, XIV, p. 980.)
Carbonate rhomboédrique de chaux et de strontiane; rhomboèdres aigus de 65°50 ee ou Je ? ) avec clivage du spath
calcaire, paraît contenir les deux carbonates en quantités à peu près équivalentes.
Sur le cuivre oxydulé capillaire; par G. ROSE. (Krystallochemische minerai system, p. 62).
M. Rose établit, contrairement à l'opinion de Kenngott et de Suckow, que les cristaux capillaires ne sont autre chose que des cubes allongés, portant même quelquefois de petites facettes du dodécaèdre rhomboïdal et de l'octaèdre. Sur là cérine; par G. ROSE. (krys(allochemische minerai system., p. 85.)
La fig. 6, Pl. 11, représente un cristal du Laacher-Sée en projection sur le plan diamétral principal du prisme oblique. La fig. 7 représente la même projection pour un cristal hémi-
trope autour de T. L'une des extrémités montre une symétrie apparente qui conviendrait au prisme rhomboïdal droit La forme de ces cristaux est semblable à celle de l'épidote.
Les micas 'ne peuvent Cristalliser en prisme oblique, car on trouve fréquemment des cristaux maclés (fig. '5) sur les faces latérales M des prismes d'environ 60" et 720'. Or non-seulement les clivages parallèles à la base ne font pas les angles rentrants qui résulteraient de l'obliquité, mais leur continuité est telle qu'on ne distingue les cristaux qu'a la lumière polarisée. On observe même des macles plus complexes. Les individus ne sont pas groupés semblablement aux deux extrémités d'un même cristal (fig. 16 et iv), de façon qu'au milieu de sa longueur il est formé de feuillets superposés dans une orientation différente (fig. 18). La plage ainsi composée ( pointillée sur la figure) se reconnaît parce que la lumière polarisée parallèle ne cesse jamais de développer des couleurs quand la lame tourne dans son plan ; et que la lumière polarisée divergente montre deux systèmes d'anneaux croisés sous l'angle de 69".
Sur 57 espèces de micas examinés, on a rencontré à peu près en nombre égal ceux où les axes optiques gisent dans le plan de la petite, et ceux où ils gisent dans le plan de la grande diagonale de la base rhombe. Leur inclinaison réciproque, variant d'ailleurs dans chaque série de 10 à 2° jusqu'à 770, sans que
pour cela la cristallisation soit notablement différente, puisqu'on observe dans la même lame des plages où l'écartement des axes n'a pas la même valeur : ( Fig. 19, inclinaison de 6o° dans la région périphérique et dans l'enclave polygonale, de 700 dans la région centrale ; Fig. 20, inclinaison de 67° dans la région centrale; de 58° à 59° dans la région périphérique.)
Or on peut, avec des sels isomorphes (tartrate de soude et de potasse, tartrate de soude et d'ammoniaque) , qui dans la même enveloppe géométrique ont leurs deux axes optiques euverts suivant deux plans diagonaux rectangulaires, former