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RECIERCHES DU POLONGEMENT
deux au recherches, évidemment situées, toutes les limite la partie sud du prolongement de la faille qui apparente du terrain houiller de la Sarre, peut être de la fronéclaircie par ce qui se passe de l'autre côté si ce tertière. Il y avait un grand intérêt à rechercher sud de cette faille et à rain ne se prolongeait pas au entrepris reconnaltre son allure. Deux sondages ont été chemin de dans ce but sur le sol bavarois, l'un près du petite vallée l'autre dans une Saint-Jngbert à Hassel, excursion que au nord-ouest de Neuhatisel. Dans une mois de mars nous avons faite à Saint-Jngbert , au 1856, avec M. l'ingénieur en chef Daubrée , nous avons constaté que le sondage de Hassel était encore trop peu avancé pour avoir pu procurer des résultats ; mais celui de Neuhailsel , parvenu à 512 mètres et suspendu pour le moment , avait pénétré, depuis la profondeur de caractérisé, à sa 2 15 mètres, dans du terrain houiller argiles rouges bigarrées de partie Supérieure, par des gris, et, dans le bas, par des argiles schisteuses noiavait râtres, avec impressions de la flore houillère. On retiré du trou des échantillons cylindriques, qui montraient que ce terrain était presque horizontal. Les résultats obtenus à Neuhatisel nous ont paru très-remarquables comme établissant d'abord l'existence du terrain houiller de Sarrebruck, sous une épaisseur de grès vosgien qui n'est pas très-considérable, au sud de l'accident qui en forme la limite apparente, et comme démontrant ensuite qu'il existe une grande différence entre les allures des deux parties qu'il sépare. Ainsi, tandis que dans les mines de Neunkirchen, situées à 5 kilo-. mètres au nord du forage de Neuhaüsel, les assises du terrain houiller plongent vers le nord-ouest sous un angle de 5o à 4o degrés, et sont extrêmement riches en combustible minéral, elles sont presque horizontales
DU BASSI& DE LA SA1111E.
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dans cette dernière localité, et on Éri traverse g mètres sans rencontrer une seule veinule de houille. On peut en inférer que, malgré la faible distance qui sépare ces deux localités, les couches recoupées à Neuhatisel appartiennent à un autre étage que celles de Neunkirchen. On ne manquera pas de remarquer qu'avec un terrain aussi
épais que celui de Sarrebruck, l'horizontalité était la circonstance la plus défavorable que l'on pût rencontrer clans les recherches ; une inclinaiSon un peu prononcée des assises dé la partie du bassin située au sud de la faille aurait au moins laissé la Chance d'atteindre; par des travaux peu profonds, le faiSeean des couches de Neunkirchen. En résumé, la déecittVerte dû terrain
houiller faite sur le sol bavarois, tout en établissant que le bassin déjà fort étendu de Sarrebruck est loin d'avoir été originairement limité à sa partie apparente, laisse bien peu d'espoir pour les recherches qui seront entreprises au sud de la grande faille terminale de ce bassin, et c'est pourquoi nous considérons qtte les sondages d'Alsting et de Grossbliedestroff offrent bien peu de chances de réussite. Notre opinion à cet égard est formée depuis longtemps déjà, et dans les conclusions de nos Études géologiques sur le bassin de la
Sarre, après avoir exprimé la confiance que nous mettions dans la réussite des travaux à entreprendre au sud de la route de Mayence , nous ajoutions : « Il ne faut » pas oublier que le terrain non concédé des environs » de Forbach n'offre pas un champ d'exploration très» vaste. La plaine occupée par le grès vosgien est, en » effet, limitée à une petite distance de la route par les » contre-forts d'un plateau sur lequel les recherches » offriraient de grandes difficultés. Il ne faut pas non » plus perdre de vue que ce plateau est, à une petite » distance de sa naissance, traversé par une faille dont