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OBSERVATIONS
SUR LA DÉPENSE DES DÉVERSOIRS.
à des circonstances d'écoulement nettement caractérisées : c'est celui qui fait l'objet de la note de M. le capitaine Clarinval. J'en ai commencé l'étude en 1845. Quant au passage qui concerne « les observations communes à MM. Poncelet et Lesbros..., » l'opinion qui y est exprimée ne sera certainement point partagée par les physiciens et les géomètres qui s'occuperont des lois du mouvement des liquides; on sait d'ailleurs
M. Clarinval par un grand nombre d'observations relatives à l'influence des principaux éléments dont celle de Dubuat ne tenait point compte, et elle contient l'application d'un principe expérimental déduit de ces ob-
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que ces belles et classiques expériences concernent l'écoulement avec contraction complète, ce qui constitue, au point de vue des phénomènes comme à celui du raisonnement, un cas normal qui doit servir de point de départ pour ceux des contractions incomplètes ou partiellement nulles. On lit plus loin dans la Note «
M. le capitaine Boileau a présenté, dans ces
dernières années, à l'Institut, un Mémoire dans lequel il propose, pour les déversoirs dont je m'occupe, une formule différente de celle de Dubuat , et qui, dans
certaines limites, n'a pas besoin de coefficient de correction. L'auteur indique ces limites, les coefficients à adopter dans les autres cas, et donne un tableau renfermant les valeurs de K applicables à la formule de Dubuat, pour des charges et des hauteurs de barrages très-étendues. »
» La première partie de ce travail me semble peu utile, dès lors que cette formule a presque toujours besoin d'un coefficient.... » Le mémoire cité dans ce passage de la note a été pré-
senté, non pas dans ces dernières années, mais en 1847 (1). J'ai été conduit à la formule dont parle (i.) Le tome XXV des Comptes-rendus des séances de l'Aca-
démie des sciences, contient le savant rapport qui a été fait
servations; en outre, on peut voir, pages 107, io8 et 119 du Traité de la mesure des eaux courantes qu'elle est loin d'exiger presque toujours des coefficients de correction : de sorte que, sous divers rapports, cette
partie de mes recherches peut être plus utile que ne le pense l'auteur de la Note. Au reste, je me réserve d'y
revenir lorsque je m'occuperai spécialement des formules.
M. Clarinval poursuit ainsi » .,.. Le tableau des valeurs de K me paraîtrait, au » contraire, d'une bien grande importance s'il était plus » étendu....» On remarquera sans doute le désaccord qui existe entre ce passage et le précédent relativement à l'étendue des limites entre lesquelles j'ai fait varier les éléments qui influent sur les valeurs des coefficients de la formule de Dubuat pour un déversoir de forme donnée ; j'ajouterai que l'auteur de la Note, s'occupant un peu plus loin de la série d'expériences due à M. le colonel Lesbros, et dans laquelle les charges ont varié sur ce travail par une commission composée de MM. les généraux Poncelet, Piolbert et Morin (rapporteur) : on me permettra d'en extraire les passages suivants M. Boileau, dans le nouveau Mémoire qu'il a soumis au jugement de l'Académie, s'est occupé, avec la précision qui avait distingué ses précédentes expériences, de l'étude des principales circonstances que présente l'écoulement de l'eau par les déversoirs, tant sous le rapport des mouvements et des effets divers qui se produisent clans leur voisinage, que Ses recherches relatives à une sous celui de leur produit » sorte de barrage normal qui peut être reproduit et servir de » type pour les jaugeages à effectuer dans les canaux des usines présentent une utilité réelle