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Causes
et importance du déchet dans ce travail.
RÉACTIONS DE L'AFFINAGE DES FONTES.
échapper à un ouvrier attentif, lors de la confection
tion des laitiers des deux procédés, que la mollesse et 'la douceur de l'acier, puddlé comme il vient d'être dit, sont dues exclusivement à une trop forte teneur de la scorie en oxyde de fer. Avant de parler de modifications apportées au travail pour corriger ce défaut, je résumerai ce qui précède sur le puddlage en battitures sur riblons. 1° Ce procédé réclame d'abord des fontes susceptibles de devenir bien liquides : les fontes grises un peu graphiteuses sont les plus convenables à cet égard ; mais on passe encore assez bien des mélanges de fontes gra-
des loupes. En définitive, le déchet du puddlage pour acier en battitures et sur sole en riblons viendrait donc surtout du départ de 5 à 6 p. ioo de carbone, silicium, manganèse, sable, d'une part, et de la quantité de fer oxydé pendant la deuxième période, en sus de ce qui peut être réduit par les éléments éliminés de la fonte pendant l'affinage, d'autre part. A ces sources prédominantes de déchet, il faut ajouter les pertes accidentelles par oxydation pendant le cours du travail et les grenailles laissées dans les laitiers par inattention de l'ouvrier. Dans le travail Rivois ces deux 'dernières causes de déchet prédominaient, d'abord parce qu'au début les
masses aciéreuses étaient travaillées trop près de la tuyère, et puis parce qu'avec les rives et sornes, il se
riodes, à l'exception de la seconde, l'action de l'air
talloïde contenue dans la charge passant en combinaison ou en dissolution dans la fonte, et. celle-ci devenant, par là, blanche, plus saturée de carbone, et, par suite, plus fluide; 5° A mesure qu'elle fond, la fonte se recouvre d'une couche de laitiers basiques presque exclusivement ferreux.provenant soit des additions de battitures ou crasses de marteau et de laminoirs faites au minent du chargement, soit du fer bridé pendant la fusion : elle se trouve
dans le foyer Rivois. Que dans le puddlage on amoindrisse par une fusion rapide et avec une fonte fluide les chances d'oxydation,
de l'acier.
20 La fonte est d'abord amenée à l'état de parfaite fluidité. Pendant ce passage de l'état solide à l'état liquide, soumise à l'action d'un courant de gaz éminemment oxydant, elle perd une partie de son fer qui avec le sable, avec une bonne partie de silicium et du manganèse, se fond à l'état de silicate dans le laitier : elle gagne
rature peut être maintenue bien plus régulière que
Influence
phiteuses, de fontes truitées et d'un peu de fonte blanche.
perd une notable portion de fonte ou d'acier. Ces causes de déchet sont très-certainement moins sensibles dans le puddlage, où pendant toutes les pépeut être combattue assez efficacement, et où la tempé-
de la nature des laitiers sur la qualité
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et il n'est pas douteux qu'on ne puisse retirer en acier poids pour poids de fonte. Nous avons vu que l'acier obtenu par le puddlage en battitures sur riblons est généralement doux et un peu
au contraire du carbone, la presque totalité de ce mé-
mou.
dès lors ainsi garantie contre toute action de l'air. L'épuration se poursuit, à partir de ce moment, sous
Si l'on se reporte aux remarques, qu'en parlant du travail Rivois, j'ai présentées au sujet de l'influence de laitiers trop basiques sur la qualité de l'acier obtenu, on reconnaîtra aisément, aux différences de composi-
l'influence à peu près exclusive du laitier. La décarburation est d'abord très-lente, tant que les réactifs demeurés liquides , tendent à glisser l'un au-dessus de l'autre ; on l'active progressivement en les ramenant à
Résumé surpoluerpauedidelrage
eu bealitsuers"
sur sole en riblons.