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APPAREIL CONTRÔLEUR DES MATS, ETC.
EXAMEN ET TRANSFORMATION, ETC.
mature, et par un système de leviers force un disque rouge à paraître derrière l'ouverture pratiquée dans la boîte du récepteur. Si le mat n'est pas suffisamment tourné, les ressorts b et r du commutateur ne sont pas pressés par les excentriques E et E'; le circuit est donc interrompu en ce point. Les électro-aimants A et A' du récepteur sont inactifs et le courant passe par leurs armatures peur venir faire marcher la sonnerie trembleuse T.
Pendant la nuit, la lanterne est hissée en haut du mât; les ressorts H et H' sont écartés, ce qui rompt le circuit en ce point, mais il est rétabli par la lanterne et le thermoscope différentiel. Le mât étant au rouge, le courant arrive par OGK, traverse le thermomètre métallique N amené en contact de la
vis D par la chaleur, et suit la route 111 Il Z Ir V X A.' comme pen-
dant le jour. On voit donc que le circuit se trouve complété et fermé par les thermomètres métalliques N quand ils sont courbés par la chaleur ; aussi, dès que la lampe s'éteint ou baisse par trop, les thermomètres se séparent, le circuit est rompu et la sonnerie d'alarme se fait entendre. Dans ce cas, la sonnerie ne cessera de fonctionner que lorsque l'on aura été remettre la lampe en état.
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EXAMEN ET TRANSFORMATION
DES MACHINES DU SYSTÈME ENGERTH, A HUIT ROUES COUPLÉES. Par M. COUCHE,
Ingénieur en chef, professeur à l'Ecole des mines.
Dans les machines construites sur les plans de M. En-
gerth, le châssis du tender, réuni par une articulation au châssis principal, est supporté par deux ou trois essieux, dont l'extérieur est placé sous la chaudière. La boîte à feu s'appuye ainsi sur l'arrière-train, à droite et à gauche, entre deux points d'appui des longerons du
tender. Le but du constructeur était de concilier une grande
longueur de chaudière, et par suite une grande puissance et un grand poids, avec une 'flexibilité suffisante du véhicule et une limite assez basse de la charge par essieu. Mais quand on applique cette disposition à une machine à petites roues, à laquelle on demande, non de la vitesse, mais un grand effort de traction, l'adhérence manque; elle est souvent, si ce n'est toujours, inférieure au quotient du travail dynamique effectif disponible sur les roues motrices, par la vitesse, c'est-àdire à l'effort de traction que le moteur est capable de développer à cette vitesse. On a essayé de transmettre, par des engrenages, le mouvement de rotation du premier groupe d'essieux parallèles, solidaire avec la machine, au second groupe,
solidaire avec le tender, et muni, comme l'autre, de bielles d'accouplement; mais l'expérience n'a pas tardé
Disposition
Tel!, Ircalêrels7