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TRAITEMENT DE LA GALÈNE 462 des bandes ou tirants horizontaux ciont les uns sont extérieurs,
au-dessus de la voûte, et le autres sont engagés dans la maçonnerie. Les barres ont environ 6' 6" =1,98i et 5" = o,o76 sur 2" = 0,051 ; elles portent sur leur petit côté. Les tirants ont 6" = o,152 sur 1/2" = o,o 12 ; à chaque bout on a fait un ceil où passe la barre et par-dessus un coin
AU FOUR GALLOIS.
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y maintient de l'eau, dans laquelle tombent les escarbilles, et dont les vapeurs diminuent l'usure des barreaux. La cheminée d'appel par où s'échappe l'excès des vapeurs est construite immédiatement en avant de la chauffe; sa largeur est aussi 2'6"; sa profondeur à la base est de 2'=.2 0,61 ; elle s'élève à 20' 6,096 du sol et dépasse le toit d'environ
en fer.
La position de ces diverses pièces est indiquée sur les figures et s'y justifie par les détails précédents ; mais il y a lieu d'expliquer ce qu' ont de particulier les tirants inférieurs voisins des portes du milieu. La profondeur et la forme du bassin intérieur ont exigé qu'au lieu de quatre bandes rectilignes on fît huit tirants recourbés. Chacun d'eux a environ 4' 6" = 1,571 de parcours horizontal dans la maçonnerie et son extrémité, retournée à angle droit, est prise de ' = o,5o5 dans le massif. On à pu ainsi les écarter sunsamment du bassin et de la partie de la sole faite en scories. La grille se compose de deux groupes de huit Foyer. barreaux; trois barres de fer, deux aux extrémités et une au milieu supportent les bouts de ces barreaux ; leur longueur est de 2'5", ce qui donne celle de 4' 6" indiquée pour la grille. Sur la face d'arrière il n'y a pas d'autre ouverture que la porte de chargement; le cadre en fonte, qui en forme l'entrée a intérieurement -=o,5o5 de côté; la porte ellemême est entièrement mobile. Elle consiste (fig. 6) en un cadre de fer garni de briques réfractaires et suspendu par un bout de chaîne à une tringle en fer, qui permet de la déplacer latéralement; lorsqu'on l'abandonne à elle-même, elle vient s'appliquer sur le cadre en fonte. De ce dernier à la grille, l'ouverture s'évase de ' à 2' 6"; le mur a le= 0,457 d'épaisseur et se trouve coupé horizontalement au niveau des barreaux (2' 8" du sol). L'air arrive sous la grille du côté de la face d'avant; la porte de la halle s'ouvre à 8' 6"= 2t°,59 du foyer. 0,505 au-dessous du sol; on Le cendrier descend à
D'après ce qui précède on voit que le chef fondeur peut seul piquer le feu par-dessous la grille ; pour le piquage pardessus une ouverture horizontale de 4" 0, 1 1 de hauteur est ménagée de son côté ; elle est formée par trois fortes barres de 4". L'une d'elles ferme le rectangle de la chauffe ;
c'est-à-dire empêche tout mouvement des barreaux dans le sens de leur longueur et affleure à leur niveau. Les deux autres posées 4" plus haut supportent en même temps la voûte du foyer du côté de la cheminée. Carneaux. Registres.llans quelques fours la partie horizontale des carneaux est construite sur le sol ; et on doit la franchir par des marches lorsqu'on veut passer d'un côté à l'autre de la halle. Mais on préfère la disposition indiquée sur les fig. 2, 5 et 4 par laquelle on laisse un passage de 5' 2" = 2' 8" -I- 2'6" = 1°1,574 de hauteur. A ce niveau on
pose deux barres de fer; l'une sur le petit côté du four,
l'autre en face dans le mur de la halle ; des bandes transversales portent la maçonnerie en briques spéciales, dont il sera parlé plus loin. On compte alors de la sole au-dessous
des briques de recouvrement une distance verticale de
,o92. Les deux carneaux débouchent dans une seule ouverture faite dans le mur et les gaz descendent au canal souterrain par une voûte inclinée de 45° et bâtie en forme de contre-fort. Les registres en tôle (fig. 2 et 5) sont suspendus à un système de poulies par des chaînes terminées par des contre-poids à la hauteur (4' 6") de la main de l'ouvrier. Au bout d'un certain temps de service, le bord inférieur des registres se trouve échancré par l'action corrosive des gaz;