Annales des Mines (1862, série 6, volume 1) [Image 312]

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Pour que la Vitesse it soit réelle il faut qtte

in>

6o3

DE L'INJECTEUR DE M. GIFFARD.

EFFETS MÉCANLQUES

rapport de la vitesse w de la gerbe, à celle y de 1 vapeur, il vient

= y'v'

2gp

FY'. 2g

(nrî;i)

P

condition sur laquelle nous reviendrons plus loin et que nous supposerons remplie quant à présent, Soit x le rapport de la section correspondant à la vitesse

u, à celle de la gerbe w, l'équation de continuité est uxp = ty,à, par suite ,

-I-

=

k, z, T ayant la même signification qu'aux

P

1

Enfin on a (n° o),

ài)

W1

Sin' <

.

(

(22)1 1 reir

2gP (n'

cette formule n'est pas applicable puisque l'équa-

tion (a) donnerait it> 220 ; mais on se trouve dans cette période qui précède les remous réguliers, et où là gerbe 'Và se perdre en tournoyant par globules séparés dans la inaSé liquide ; par conséquent l'introduction sera possible endtiti riant à l'orifice du jet son maximum b). Si en faisant croître

re, on arrive à x> i, l'appareil fonctionnera également; en donnant à l'ouverture du récepteur la section Oi, le re, mous aura lieu dans l'intérieur du tube divergent. Mais si x< i, il faudra pour que l'introduction soit possible, que l'ouverture du récepteur soit inférieure à celle du jet. Ces conséquences sont conformes à l'observation, car il arrive qu'en faisant subir une réduction à la pression dans la chaudière, on ne peut plus faire fonctionner l'injecteur qu'en remplaçant le récepteur par un autre d'un plus petit diamètre.

Plaçons-nous maintenant au point de vue de l'application, en supposant que les tuyaux de communication de l'injecteur avec la chaudière soient assez courts pour que l'on puisse négliger les pertes de pression dues aux frdttements. On a, dans le cas actuel, n'=n, et, en appelant y le

n" 9 et

suivants. A

A

X

'

-FaT

Y

et

(n f3,) (n

)

Le tableau suivant donne les résultats de l'application de cette formule à celles des expériences citées au n° 9, qui correspondent à 0 = 2 0° ,

= 5,76. Nous avons repréSenté

par d le rapport au diamètre de l'ouverture de la lance, du diamètre qu'il convient de donner à l'orifice du récepteur pour que l'introduction puisse s faire.

On a : d= Vic pour x 1 ou n<L. P

7iuméros.

1

2 3

4 5

6 7 8

Y

1,39 1,95 2,51

3,04 3,60 4,20 4,79 5,37

0,042 0,031 0,053 0,067 0,078 0,035 0,110 0,137

3...

763'

d

X

A

0.03 1,35 1,00

626 638 506 390 327 172

1,06 1,04 1,14 négatif.

115

négatif.

10,4 1,3 0,7945 1,2 0,5060 0,4337

1

1

0,39 1

0,71 0,66 1

»

1

et 8 se ti ouvent dans le cas de la Les expériences i première période dont nous avons parlé plus haut. Pour les