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57,4
DE LA PROVINCE D'ALGER.
SONDAGES EXÉCUTÉS DANS LE TERRITOIRE CIVIL
.E '5
-5
.,.
DÉSIGNATION DES cOUC11ES.
'.
m
Terre végétale.
I
Marne j'aime avec petits noyaux calcaires à la
2
partie supericitre
Miine bleu clair.
3
,ilarne gris bleuâtre. Marne blatte bleutltre avec marbrures et petits graviers. Marne gris bleuâtre avec Inarb ares.. . . . . . . Marne grise avec nombreux graviers Graviers Mitr jaune avec nottibreuX graviers. Marne jaune Sable fin Marne jaune avec nombreux graviers.. Salt' lin Marne jaune. Marne jaune avec nombreux graviers Graviers argileux Marne jeune avec nombreux graviers. Marne jaune pure. - . . . . Manie jaunâtre avec noyaux calcaires
4
5
6 7
8 9
10
Il
12 13 14 15 16 17 18 19
- .. ........ ..
met. 3,10
16,40 2,80 0,40
19,50 22,30 22,70
1,90
24,00 .25,30
0,70 6;20 3,05
21
24
raire,
Marne jaune
23
2/
Gravier meuble
M,,,, jaune graveleuse Sdile fin jaune
2-,
26 27
Marne jaunegraveleuse avec concrétions calcaires . .... . .- . . et sables. . . .
Sable tin jaune.
23
1.1s niveau
.. ..... . - .
(in Les couches traversées
à
(L)
3T,S0
3s,to
3,55
48/./,55
1,29
41,tio 42,8o 43,55
1,09 0,75 2,45
(c)
4,-;,1,0
t3,70
50,70
7,191
3400 5,40
40,,to
I.
I
75,10 '81,60 e0,30 102,40
14,00 0,00 '7,65
117,30 £25,30 133,05
/5,05
149,0
3,50
152,50
0,90 5,10
159,40 104,50
des eaux d'infiltration superficielle se tient
'le sol.
(a)
.8,4i,55
-
'145
9,50 Marnejaune jan avec m arbrures bleuâtres... .. -. Marne jaune pure. 12,10 Argile gris bleuâtre avec ,que,Ifteres, noyatex,cak
20
ri.',
'
met. 3,10
àI
(d)
mètre sous
Barald appartiennent au terrain saharien, qui
redresse contre le flanc du Sabel .au nord et contre les flancs de l'Atlas au sue., 'de utantire à former un fond de cuvette. 'On y a 4.111t/v0 des hélix (osbiles. te) Premiére nappe jaillissante à 41,6,80. (d) Deuxiérne nappe jaillissante à 126',50. s,-,
On voit que le sondage de Baraki a traversé une série de couches de marnes pures, de marnes graveleuses, de graviers et de sables ; il a été arrêté dans une couche de sable n° 28 indiquant qu'on n'avait pas encore traversé toute l'épaisseur du terrain aquifère de la plaine de la Métidja. Il a rencontré deux nappes jaillissantes : la première a commencé à se manifester à 41 mètres de profondeur, à la rencontre de la couche de sable fin m. Le niveau de l'eau,
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cpese tenaitprimitivement °,o8 sous le sol dans le puits dé service et le trou de sonde, s'est élevé progressivement et s'est arrêté à o-,25 en contre-bas du niveau du sol Une tranchée de o"',94 de profondeur a été ouverte peur donner écodement à l'eau et permettre de continuer le sondage. Le débit de la source est allé en augmentant entre, 41 mètres et 61, mètres de profondeur. Il s'est élev, jusqu'à.G.litres par seconde dans le fossé d'écoulement, et s'est maintenu, en définitive, à et,53. à la température .de 2 I °, entre 61 mètres et r2,6",5e de profondeur. A la rencontre de la couche de graviers situés à l'a profendeur de. 1.2i6,",5e, le niveau
de l'eau s'est élevé de om,o7 deus le tube de retenue, et la température de Veau a été portée subitement de 210 à 22*. Le débit et la température ont augmenté. d'une manière très-notable entre .126 et r55mètres de profondeur, et l'on a obtenu en définitive dans le fossé d'écoulement un débit total par seconde variable de Ka, i 1 litres à la température de 24°. Le r8. septembre 8.6, après l'isolement des, deux nappes jaillissantes, nous avons trouvé pour la nappe su. périeure une température de 25°, pour la nappe inférieure une température' de 2,5°, et pour le mélange des nappes une température de '24G, ce qui indiquait que les deux nappes avaient le même débit La température de la nappe inférieure ne parait pas varier, maiis, il n'en est pas de même pour celle de la nappe supérieure. Ainsi, le G février 18e5, nous avens trouvé pour la nappe supérieure une température de 95°,75, pour la nappe inférieure une température de 25°, pour le mélange des deux nappes une température de 29°,5o, pour l'ensemble des deux nappes un débit total de m ares par seconde La théorie des mélanges indique que la nappe inférieure a un débit de 9111,52 par seconde, et la nappe supérieure un débit de 8!1',48 par seconde; elle a donc gagné plus que la première n'a perdu, et comme cette augmentation de débit est accompagnée d'une diminution dans la température, on ne peut l'attribuer qu'à une 1,