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DANS LA PROVINCE D'ALGER.
408
40g sans accident jusqu'à 24-,53 dans la couche de marne sableuse jaunâtre n° 8. Là des éboulements venant sans doute
SONDAGES EXÉCUTÉS EN 1865
T.,
DÉSIGNATION DES GOUCIIES. .ifi
.°
j
Alternances d. terre végétale sableuse et de sable
2
i'aillfinT roules de calcaire et de silex. Marne jaune Sable blanc jaunâtre, avec retijs cailloux roules,
3 4 5 is 7
8 9
10
ii
12 13 14
15
qii ',eux banc. .
inelange de sable quartzeux et de sable calcaire Marne jannatre Sable calcaire rougeatre . Marne rotnieaire. Marne s,ibleuse iauntilril Caleaii e blairee niable, farineux
Sable qllarl,III et sable calcaire mélangé.
.
Marne jannaire Sa Ide calcaire rougi-tu tre
Sable blanc quarczeux avec sable calcaire. . . Sable jaune t és-liii quartzeux et Itigèrement calcaire Sablv jaune irès lin , legèrement calcaire , ascen.
il.ii, traverse sur 0,70
'3
o
tiiiit.
nia.
6,00 3,00 0,20
6,00 9,00 9,20
4,90 2.00 4,10 4,00 5,73 1,30
13,70 15,70 19.80
0,20 2,60 3,07
23,80 29,53 30,83 32,33 32,53 35,13 38,20
6,80
45,00
0,70
45,70
1,50
de la couche de sable n° 6 ont obligé d'introduire la colonne
...-.
de o",3o qui a refusé de descendre au -dessous de 22',20, quoiqu'elle ne fût engagée que de 9-,20 dans le terrain ébouleux ; on a descendu alors la colonne de orn,27, qui a
été poussée à grand'peine à 39-,5o dans la couche de (a)
sable quartzeux n° 14.
Dans un rapport du
13-
mars 1865 sur le sondage d'El
IVIesran, M. l'ingénieur ordinaire Vatonne s'exprime comme il suit ft
« Devant l'envahissement des tubes par les sables, il a fallu soulever la colonne à plusieurs reprises. Dans la
« dernière manoeuvre de ce genre, le sondage ayant atteint
4o mètres, les tubes refusèrent longtemps de revenir à (b)
(a) PreiniCie nappe d'eau d'infiltntion saumâtre. (b) Nappe d'eau ascendante.
La présence des bancs de sables et de graviers a donné lieu à des difficultés d'abord très-grandes pour la continuation des travaux d'approfondissement, et en dernier lieu tout à fait insurmontables. Ainsi l'on a d'abord descendu une première colonne de retenue de orn,5o de diamètre qu'on a poussée jusqu'à to-,o5 sous le sol, au milieu de la couche de sables et de graviers ir 4. Alors on a introduit dans le trou une colonne de 0,27 de diamètre qui da pu dépasser que de ona,20 le pied de la colonne de ou',3o. L'introduction des sables entre les deux colonnes a donné lieu à une résistance telle qu'il était impossible de faire tourner la colonne de o-.27. On a enlevé alors les deux colonnes, on a élargi le trou de sonde et l'on a introduit une première colonne de ou',35 de diamètre qui avait atteint, le 7 janvier 1865, la profondeur de 15 mètres qu'elle a refusé de dépasser. Le sondage s est continué
« leur ancienne position. Parvenus enfin à 59-,50, toute ten tative de faire franchir ce point en frappant sur la tête de
« la colonne et en la chargeant à outrance fut conlpléte« ment inutile, et en cherchant à soulever la colonne de. « orn,27, on entraînait la colonne de on',5o dont le pied est « cependant plus élevé de 17 mètres. Les tubes de 0o',27 furent envahis à la suite de ces manoeuvres sur 9 mètres de hauteur, et pendant plusieurs jours, malgré un curage actif, les sables continuèrent à occuper une partie de la « hauteur da la colonne. Cependant, à force dé persistance,
« le pied de la colonne put être dégagé. Le 22 janvier, le maître sondeur descend une colonne perdue de o-,23 de diamètre et de 9 mètres de longueur, dont l'extrémité « inférieure s'arrête à 4e,o7 sous le sol. Le sondage atteint 45-,7o dans les sables; niais alors ces derniers remontent de i o mètres dans les tubes, et il est impossible d'en « vaincre l'affluence malgré des curages répétés. On a « essayé inutilement d'arracher le tube de » Le 28 février, à la suite de divers essais infructueux pour 'rom V, 186. 27