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TRAITEMENT DES 1111ERUS ,A
TRAITEMENT DES MINERAIS A ,FREIRERG.
l'affinage proprement dit jusqu'aux ,p.remières priSee .«eSsai, enfin ,2 heures à partir de ..0.0 emoment ii.eçpa.,la fin. Tour faire,tin essai, on s'y prend gle la manière suivante: on remue le bain d'argent avec un ringard u.-ecourbé , ,et Iraise,dans une petite cuiller el peu idlaugent que l'on y laisse7xe-,froiclir ; ans8i longteinp-s que ,,rarge$ Tenferme se,recouvregle dessins rayondu plomb, le .boutotn liants assez-visibles,;. ces dessins disparaissent adnesure que la:pureté:ide l'argent est plus grande. ,derniers ,essais .ont ,dans -leur ,eassere .une couleur et uniforme ; en grise bien ,reconnaissable, grain !niés
0,02.5 par kilogramme d'argent. On brûle par .tonne d'argent environ iot,fio o .de .Extraction -xle l'or -.et du bismuth.
Les minerais reçus par ',les usines .de .Freiberg :-contiennent un peu dor iet bismuth. On fait, sur les portions de l'argent qui en méritent la peine,
l'opération du départ (pour l'extraction de l'or. Je n'insisterai pas .sur cette opérationtrès,connue,.et.qui se présente rarement à Freiberg. Le bismuth accompagnement dans toutes les opérations du.traitementet se concentre .enfin dans l'arg.ent pendant le raffinage de celui-ci, il passe, avec les dernières portions d'oxyde de plomb, dans les couches supérieures de la. sore., qui prennent le nom .de Teste :(coupelles). Ces portions de sole sont mises de côté après chaque opération du raffinage, et au bout d'un certain temps reprises pour l'extraction du bismuth. .
même temps leIainde métalest d'un,blancjametre et présente une .surface très-réfiée hissante -Tpii ,in flique l'entière
disparition de "la litharge, ,absorbée par la ,marne de 'la coupelle.
On arrête alors le- vent, -tout en continuant 'à entretenir le feu, et on coule l'argent, au moyen -d'une poche en tôle de 0"!,20 de 'diamètre, dans de petites coupes, également en
Pour cette opération, on laisse digérer à froid les matières :avec 1/5 environ d'acide chlorhydrique, auquel on ajoute.la moitié de son poids d'eau.; puis on lave les ré-
tôle et blanehies à la Chaux, de o",25 de diamètre. 'Les pains -pèsent 'à peu- près i o 'kilogrammes.
-L'argent fait ordinairement des ,projections en se refroidissant : c'est le phénomène- bien connu du rochage ; mais on empêche toutes pertes .en couvrant de planches les petits bassins où se ,trouve le métal. Il faut de temps en temps, pendant la coulée, réchauffer laain. en y jetant quelques charbons, fermant la ,porte de travail et activant le feu. ikenaque opération, on grenaille. un epetite, quantité d'argent.pour les essais de la Monnaie, en lefaisant couler dans .à travers de menus branchages.
L'argent raffiné de Freiberg contient un ,peu ,plus de (À7 millièmes d'argent pur. Un raffineur, homme de confiance, et un aide payé par lui, sont seuls employés ,à,Topération. Le raffineur reçoit
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sidus ,avec une :égale (quantité d'acide, :cette fois .,un peu -plus étendu.
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Le bismuth entre en dissolution à l'état de chlorure ; en étendant progressivement d'eau la liqueur, on en précipite un chlorure :basique de bismuth; on achève de saturer la liqueur mère avec de la chaux. Le selde .bismuth .est retenu sur un filtre, puis séehé et .souniis'à 'la fusion avec du carbonate de soude. Enfin le bismuth métallique obtenu est fondu de nouveau avec du borax, et purifié ainsi du plomb
qu'il pouvait garder; il entre à cet état dans le commerce. les résidus du lessivage sont plombeux et argentifères ; on les ,envoie à la fonte plombeuse des minerais, ou de préférence 'à une fonte riche. In,186 , - on A -.soumis à l'extraction to 56 de .débris de coupelles, provenant de l'une et de l'autre usines. .