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AGGLOMÉRATION DES COMBUSTIBLES MINÉRAUX'.
AGGLOMÉRATION DES :COMBUSTIBLES MINÉRAUX.
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chauffage et de réparation des, étuves, et l'entretien assez élevé des nombreux t&ules .êriVakeinriets en fer. Malgré
..Le système de chauffage direct, imaginé parM. Bessemer.;
ple paraît compliqué et d'un entretien coûteux ; il favorisé la perte des éléments volatils et exige, par cela même, une prupartion d'autant plus élevée, de houille grasse et Cola
celakaymie) pp4i goissant du .bace système nie paraît
lete,..;Pour ramollir le charbon g faudrait plutôt :avoir
offrir, de avantagesi,réelsi ; et ,§,(ine, montée par M. Bapu se souteniw.i,l fep moins l'attribuer au sys7
mo,m à de la vapeur fortement. surchauffée.
I,Mepr9preme,nt dit qu'anices dappareil compresseur qui,,rie permettait ,pasungi-pr,oductionuffisamment élevée eFeclffllitcle ippc,Ours;.enurtrop. .grand, nombre de bras. Depuis les essais de MM.' Bessemer et.Baroulier, d'autres
Syslème.ewouaer.
inventeurs stint entrés dans la même voie. M. Becs s'est
Le brevet CI.Q1. Baroulier, en FranCe;:' est du !.2,4 août
- son, système a, fonctionné, d'une , façon satisfaisante,
à Grangeneuve,. près de Saint-ttiennel, 'pendant les années: 1857 et 1858. A l'inverse de M. Bessemer, il comprime à
faityreyetereen"Angleterre pour im proCédé.Peu différent de Ba:roulier : compression:à froid, puis chauffage
cele
des.prOd44- dans les moules eux-mêmes. En France, la
froid, puis chauffe les briquettes, dans les moules eux-
compagnie houillère de Roche-la-Molière et Firminy (Loire)
mêmes, afin d'éviter leur déformation. Les moules sont des anneaux en fer plat, ouvert aux deux :bains. On les place surMn,Support fixe, Sous une trémie, remplie de' charbOn Menu; puis on opère la compression, ,seit à l'aide ',d'Une' sorte de martean-pilon;Isait au moyen d'Urie .'PrâSe'à"léb vie où à genouillère. Le'S moules, ainsi remPliS; Sont eiriL pilés les uns à côté des iantres sur dWwaggonnets en fer, entre de fortes plaques en tôle, superposées horizaritalementi et.biensserrées,:à l'aide de claVettes; 'afin que le charbon:rd
apii-ei 1859,
puisse,.crr foisonnant, sortir des-MotileS'ÈroUS:l'action de la:chaleur. Les,vaggonnets sont ainenéS' dari 'dé VaStes étuves
qud l'an peut chauffer à volonté jusqu'à' do, 5ad ou 400°, de tTaçon .à donner, au besoin:ri:ni-Produit à deratearbonisé. Ainsi chauffé, le-menti se soudé ;,'et,ditnine deSuaggloinérés trèssOlides et d'un pouvoir calorifigne... éleV6:' Il faut,
cependant, pour que la briqUette ne s'égrèneipasipie charbon soit, par lui-Même" à &Mi gra,S;'Ou'littirnenient mêlé à 15 ou '2 o p. 100 deCharbon collant' finerneritIroyé: ' L'avantage de ce procédé, lorsqu'on le compareaiii-Systèmes usités, tient à l'économie de 6 à io p. 100 de brai ; seulement ceteavaMage est eu partie compensé'par les frais de
'
brevet pour des agglomérés sans ci-
mentoprOduits; àreededune machine DeVinck, agissant sur de., le houille; préalableipent"; chauffée dans des tubes en fonte comme.M. Besseiner,;, et. M. 'Loup, en 1861, associant pression à la, chaleur, propose de' fouler le menu au trayelkfrun: long ztlJbe chauffé,' légèrement rétréci à son exWinité, de ..f.:açarità41Clotine immédiatement un boudin continu suffisammentelidelftiln De,Ces diversestentatives,;. celle de M. Baroulier me paraît la plus sérieuse, et Vun y reviendra sans doute un jour. Ilifaut.seulement modifier l'appareil compresseur, et prépareedes l?riquettes de, faibles;Oiteeisions, comme dans les 1.1isines7:à.charbon ,de,,Darispour :que , sanS avoir recours à
kee température tevée,oi1 puisse néanmoins, dans un pa, relativement :.eourt,,, cuire les agglomérés jusqu'au entre.,,-LaJMeille conduisant mal la chaleur, on ne peut qbauffericouvenablement le.:,nOyau central des briquettes fortes, qu'en ..transformant la,partie externe à peu près en wid JO oltifi 489 Xim9-3'1o in ro chi 419
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