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3o7 nu l'argile. Les parties ainsi ravinées forment de grandes tâches bleuâtres qui se distinguent de trèsloin, et qui marquent les affleurements de ce terrain au-dessous des calcaires portlandiens. On trouve souvent dans ces argiles des veines noirâtres, imprégnées de bitume en assez grande proportion pour brûler avec flamme. Les assises calcaires sont quelquefois isolées dans les marnes; mais plus souvent elles sont réunies et forment entre les dépôts marneux des épaisseurs d'un ou plusieurs mètres. A Braux, commune de Naives-en-Blois, en ne tenant pas compte des petits lits intercalés dans les massifs de nature différente et dont les affleurements peuvent être masqués par des éboulis, on remarque à la surface du sol trois séries d'alternances de calcaire et d'argiles à gryphées virgules, entre .les assises supérieures des calcaires à astartes et les calcaires portlandiens. On voit, à peu près, la même disposition générale dans les travaux du chemin de fer de Paris à Strasbourg. Le commencement de la tranchée de Loxéville se Trancl>& trouve dans des assises calcaires tout-à-fait semblables fe"#c emm à celles de la partie supérieure du calcaire à astartes. Elles sont recouvertes par environ 40 m d'épaisseur d'argile bleue à gryphées virgules, contenant un lit de lumachelle d u r e , formée des mêmes coquilles, et quelques bancs de marne calcaire et de calcaire argileux, bleu ou gris-bleuâtre. Quelques assises sont un peu bitumineuses. Elles renferment des^fragmenls de lignites ou de bois fossile, conservant encore en
