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S9Ô lenienl les assises exploitées, mais encore celles qui les supportent. Elles n'établissent donc entr'elles aucune séparation. Les calcaires de l'étage portlandien sont traversés Fentes par des fissures nombreuses, quelquefois de petites cavl e! dimensions, mais ayant d'autres fois plusieurs mètres de largeur et une longueur considérable. Elles forment tantôt de larges fentes ouvertes à la surface du soi et remplies par des dépôts postérieurs, tantôt des grottes ou des cavernes qui s'enfoncent audessous du sol à des profondeurs variables. Parmi ces cavités on peut citer les minières de Minières i Ribeaucourt dans lesquelles on exploite des minerais h Ë | l | | | | | néocomiens remaniés, dans une crevasse dont la pro- chaires. fondeur varie de 10 à 25 m et la largeur de 5 à 10 m et quelquefois 15. Les minerais exploités entre Couvertpuits et la Malmaison se trouvent également dans des fentes très-profondes. Il exisle dans la forêt de Morley plusieurs grottes: Cave Goi Tune d'entr'elles, la Cave~GonzaIois, est, dil-on, très- za 0,s ' vaste. L'ouverture en est aujourd'hui presque entièrement rebouchée et à peine suffisante pour le passage des biairaux qui y ont établi leur habitation. Le trou des Bons-Ârnanls, tout près de Grignon- Grotte < court, dans le bois du Val-Payard, se compose d'un *>0!"-Aman puits vertical de 4 m de profondeur, aboutissant à une rampe d'environ 5 m inclinée de 45° vers le sudouest , et se prolongeant en une galerie irrégulière de 20 à 25 m de longueur, vers l'extrémité de laquelle un boyau horizontal, long de 5 à 4 m , et qu'on ne peut parcourir qu'en rampant, conduit vers le sud-est à un puit; incliné qui parait avoir une grande pro-