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421 sous le nom de briques de Marats (1). On les vend sur place au prix minime de 4 fr. le mille, et les carreaux pour les âtres de four, 0,10 la pièce. Sous-groupe moyen. Les calcaires cariés et les autres calcaires compactes du même sous-groupe sont exploités pour l'entretien des routes et quelquefois aussi comme bîocaille ou moellons. Ces moellons se vendent Moellon généralement 1 fr. le mètre cube. Ceux de Tronville se vendent 1 fr. 2 5 , et ceux de la carrière de la Halotte 1 fr. 50. Les calcaires oolfthiques subordonnés à ce sous- pierre» groupe fournissent des pierres de taille de qualité taillevariable, suivant les localités. Les matériaux provenant de quelques unes de ces carrières résistent dans toute espèce de constructions. On en extrait dans un grand nombre de localités. La carrière de Reffroy donne des pierres d'un Reffroy. blanc sale, légèrement jaunâtre, un peu coquillières, à grain assez régulier. Le banc dont on les extrait a l re, 70 d'épaisseur. Il est traversé par des fissures irrégulières et dirigées en tous sens, qui le divisent en blocs dont les dimensions varient de 1 à 5 m . Il est plus dur à la partie supérieure que vers le bas. L'exploitation en est facile et peut devenir très(1) C'est à tort que plusieurs personnes croyent parler plus correctement en disant briques de Marais. Si le mot Marats peut être considéré comme le patois de marais, ce n'en est pas moins au village lui-même que les briques doivent leur dénomination, et c'est généralement sur le plateau qui domine le village, et non daus les parties basses et marécageuses dont il lire son nom , qu'on extrait la terre destinée à cette fabrication.
