Statistique géologique, minéralogique, minéralurgique et paléontologique du département de la Meuse.- Paris : Baillière, 1852. LII-694 p., 22 cm. [Image 484]

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444 de plaquettes géodiques entre lesquelles est interposé un ciment ocreux, moins riche en fer que la masse principale. » L'acide chlorhydrique met à nu de la silice gélatineuse, qui doit être combinée avec du protoxyde de fer et de la magnésie. Le protoxyde de fer n'a pu être mis en évidence, parce que le minerai contient de l'oxyde de manganèse , et qu'il se produit du chlore quand la dissolution s'opère. Ce silicate ferreux doit différer de l'alumino-silicate que M. Berthier a signalé dans un grand nombre de minerais de fer et qui est magnétique, car aucune partie du minerai de Morley, réduit en poudre, n'est attirable au barreau aimanté. Nous avons déjà signalé ce fait en rendant compte de l'analyse de plusieurs minerais de fer du terrain néocomien* » Le résidu inattaqué par l'acide chlorhydrique est un mélange de sable et d'argile. On Ta analysé en le traitant successivement par l'acide sulfurique et par une lessive alcaline qui enlève la silice mise en liberté. L 1 argile offre une composition simple. On a trouvé en effet : Quantité d'oxygène correspondante.

Rapport.

Silice. . . 0,0367 0,0191 3 Alumine. . 0,0266 0,0124 2 1 » C'est le sous-silicate AS {. » En réunissant les quantités de silice et d'alumine qui se trouvent à divers états dans le minerai, on a : Alumine. . . .. 0,0452 ] Silice. <!•'. . . . 0,0767 ) °> 1 1 J J >