Études géologiques sur le département de la Nièvre par Th. Ébray, membre de la Société des ingénieurs civils, de la Société géologique de France, de la Société vaudoise d’histoire naturelle.- Paris : Baillière, 1858. 372-7-7 p., 25 planches dépliables (la plus grande 43 x 24 cm), 25 cm. [Image 217]

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ETUDES GEOLOGIQUES/ 217 Pholadomya Protei. par vula. — acuticostata. Thracia suprajurensis. Trigonia muricata. — concentrica. Ceromya excentrica. — obovata. Arca texta. — longuirostris. Pinna granulata. Mactra ovata. Gervilia kimmeridgensis. Ostrea virgula. — detoidea. — solitaria. Terebratula subsella. Cidaris Orbignyana. A la base de l'étage kimméridien se remarquent quelques bancs de calcaires lithographiques reposant sur une petite épaisseur de calcaire oolithique, dont les oolithes, de 1 à 4 millimètres de diamètre, présentent une teinte assez ru- bigineuse ; elles paraissent provenir de morceaux de roches usées et triturées par le mouvement des eaux. Ces deux couches forment la partie supérieure du calcaire à astartes que les uns placent dans l'étage kimméridien, et que les autres rangent dans l'étage corallien. Fidèle à notre principe de ne chercher des limites exactes et étendues que quand deux systèmes de couches ont été séparés par des cataclysmes géologiques plus ou moins intenses, nous ne chercherons pas une limite positive entre l'étage kimméridien et l'âge corallien, et nous considérons le calcaire à astartes comme un étage qui participe en