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3o
DU PROCÉDÉ7i1EATON.
EXAMEN
Tableau des essais de rupture par traction des fers doux de Longwy et de Hayangee,
faits dans les ateliers de l'ingénieur Kirkaldy à Londres.
2
g,
2 à',1«
OBSERVATIMS,
g rf
et nombre des barres.
.5 g
primitive.
sur arec le métal de la première opération, sans paquetage. 3/8 de pouce
fers aigres ou secs sont, sous ce rapport, égaux, sinon su1,195
tonnes. 13,7
29,4
0,760
19,2
30,4
P. n.
lin g. ou
7,0
Cassure à serfs.
(Moyenne de six essais.)
N° 2. Barres plates des fontes 2 pouces de Longwy, de la première opération, après paquetage. 3/8 desurpouce (Moyenne de six barres.) N. 3. Bridge-rail des fontes de Longwy de la première opération. N" 4. Bridge-rail des fontes de Longwy, de la deuxième opération. N. 5. Bridge-rail de la troi-
7,4
Idem.
o 2,08
10,3
30,4
2,03
19,9
31,3
9,0
o
Les essais n091 ont été faits SOI
seul rail.
10,8
Les quatre rata
été laminés apM quetage du tertre. Cassure mulla I
2,08
19,0
29,9
N° 6. Bridge-rail de la qua-
2,03
19,6
30,3
10,6
me opération, laminé, sans
2,08
18,8
20,11
7,1
Cassure Midi nerfs, moitié cri lino.
0,765
21,1
33,2
0,34
10,1
Cassure 011111
0,760
22,2
31,9
0,77
15,3
Idem.
0,713
20,5
32,3
0,35
12,3
Idem.
0,768
21,6
34,o
0,66
6,1
Idem.
0,278
23,1
36,4
0,77
13,9
Idem.
0,278
27,5
43,3
0,51
10,8 nerfs, mollie
sième opération.
paquetage.
N" 8. Barres plates de la mn- 2 pouces quiet. opéra Gon (Fiayanges), sur après paquetage. (Moyenne de quatre barres.) 3/3 de pouce N" 9. Barres plates de la sixième opération ( Hayanges), Id. après paquetage. (moyenne de quatre barres.) N" te. Barres plates de la huitième opération (Hayanges), Id. après paquetage. (Moyenne de quatre barres.) N° 11. Barres plates de la huitième opération (Hayanges), non paquetées. (Moyenne de quatre barres.) N. 12. Barres quarrées de la huitième opération (Haan- 1/2 pouce ges), étirées au marteau après sur 1/2 pouce paquetage. (Moyenne de quatre barres.)
N" 13. Barres quarrées de la huitième opération (Hayon- 12 pouce ges), étirées au marteau sans sur paquetage. (Moyenne de quatre barres.;
7.9
8,0
ierfs, moitié nid
ine.
trième opération. N" 7. Bridge-rail de la deuxiè-
1/2 pouce
Hayanges, préparés au nitre, est à peu près celle des fers ordinaires de pareilles dimensions, et que les barres n" 12 et 13 se rapprochenttmême des fers supérieurs. Mais cet élément seul ne suffit pas pour apprécier la valeur d'un métal au point de vue du travail qu'il est appelé 'à supporter. Les
de la section
N" 1. Barres plates des fontes de Longwy, obtenues directement a pouces
Que doit-on conclure de ce tableau ? A ne considérer que les charges de rupture, on pourrait
dire que la résistance des fers doux de Longwy et de
CHARGE
opérant la rupture. OsiGtoiE
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périeurs, aux bons fers doux. C'est leur >résistance vive qu'il faudrait pouvoir calculer, c'est-à-direi,,-le travail des barres
soumises à des charges n'ayant .:pas atteint la limite d'élasticité. A défaut de ces éléments qui nous manquent ici, il convient au moins, pour se faire une idée plus nette de la valeur des fers, de comparer l'allongement aux poids qui déterminent la rupture (*), ou de rapporter ces poids, comme le propose M. Kirkaldy, non à l'aire de la section primitive, mais bien à celle ;de la section de rupture. En partant des nombreuses expériences, publiées par
M. Kirkaldy ("), on peut dresser le tableau résumé suivant
(5)M. Edwin Clark, dans son ouvrage ourles ponts tubes de Britannia etde Conway, avait déjà montré qu'une. mauvaise tôle, très-cassante et cristalline, peut résister à 2 2 tonnes par pouce carré, mais sans allongement; tandis que la moyenne des bonnes tôles de chaudière est de 19 tonnes seulement, mais avec des allongements qui,yarient de 5 à 1 2 ,
5 p. 1.0. (") Experiments on Wrought-iron and steel (.2° édition 1866).
CaSSUre
TOME XV.F 1869.