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DE L'ARIÈGE.
RESSOURCES MINÉRALES
/. Pereille. 2° Pancou de la Touire. Roquefixade.
Pech de Foix, les Martinos. 5° Pech de Saint-Sauveur. 6° Coumetorte. 7° Cadarcet, Terrefort. 8° Coumeloup. 9" Unjat et Suzan. Io° La Freyche
Les principaux affleurements sont ceux de
t° Le canal du Mas. t20 La Quère de Durban. x3° Les Baydous. i4o Carrère de Clermont. i5° Capes de Soueix de la Barthe. Loubersenac, deux affleurements. 17° Touron de Lescure. 18" Saint-Jean de Lescure.
I. Caussou, montagne des Barres. 2° Norgeat de Miglos. 30 Mouton de Cadarcet. 4. Le Feuillet d'A ulus, fond du vallon.
5° Les Bouatés et le vallon d'Arac
Col de Nédé , d'Antras , vallée de Biros.
Espou près Lacour, dans des micaschistes, filon puissant et régulier de plus d'un mètre d'épaisseur.
Massat.
tg Taurignan.
La plupart sont peu puissants, d'une exploitation presque impossible.
On trouve des pyrites arsenicales à
Io' Minerai de fer du calcaire à mioliles.
- . Marc, vallée d'Auzat.
2° Le Pouech d'Aulus.
La formation nummulitique du calcaire à miliolites comprend une assise marneuse, qui montre de temps à. autre, et notamment dans le bassin de la grotte du Mas-d'Azel, de faibles indices de lignite et de minerai de fer en grains. Dans cette description des minerais de fer du département de l'Ariége , j'ai eu plusieurs fois recours à l'excellent ouvrage de M. François sur l'industrie métallurgique de cette localité, et aux bonnes notes manuscrites que je tiens de son obligeance.
II.
-a
- Pyrites de fer. Les pyrites de fer sont assez nombreuses dans plusieurs des formations géologiques de l'Ariége ; elles forment rarement des couches ou amas assez purs et assez considérables pour permettre une exploitation fructueuse; le plus souvent elles imprègnent en mouches ou veinules certains étages dans toute leur masse. Les schistes anciens siluriens et les schistes supraliasiques, sur un très-grand nombre de points, présentent de nombreux indices de pyrites de fer trop disséminées dans la roche pour être utilisées. Les pyrites deviennent assez souvent cuivreuses en s'imprégnant de cuivre pyriteux ; elles sont alors de véritables mines de cuivre décrites dans un mémoire spécial. I.
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Silurien inférieur.
Les pyrites de l'étage silurien sont parfois très-développées mais
toujours pauvres en soufre; elles se décomposent facilement à l'air en donnant des ocres et de mauvais minerais de fer.
3° Salan, fund de la vallée.
Marnes .supraliasiques.
Les marnes et schistes supraliasiques des bassins de Saurat et Massat présentent, sur plusieurs points, des bancs minces de pyrites de fer assez pures associées à des schistes plus ou moins charbonneux. Les principaux affleurements sont ceux de 1° Saurat, col de port. 4° Agneit. 2° Pont de Massat. 5° Biert. 3. Les Balmes et Vérenset de Massat. 6° Aleu.
Des travaux ont été essayés au pont de l'Arac, près âlassat, près le hameau de La Condamine, au-dessus de Biert et sur les bords du ruisseau qui passe au pied de la colline cl'ophites d'Aleu ; dans toutes ces recherches on a trouvé des pyrites de fer associées à de petits filons de quartz et des traces charbonneuses, affectant la direction générale O. i3" à A.' S. Les schistes supraliasiques contiennent également des traces de pyrite de fer cuivreuse dans la montagne Lujea.t, canton de Tarascon, et dans la vallée de la Bellongue, au fond du val d'Andreossein, aux Esquerettes val d'Aucasein, et à la Mousquère val d'Orgibet.