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REVUE DE GÉOLOGIE.
repose sur la craie blanche par l'intermédiaire de l'argile à poissons et est recouverte par le Liimsteen, équivalent du calcaire à bryozoaires. Ainsi, dans ce point, la couche argileuse riche en débris de poissons, au lieu de recouvrir la vraie craie de Faxoe, lui sert de base. Le gisement d'Annetorp a fourni à M. L un dgren (e) les fossiles suivants Otodus angusticlens, Panopeus faxeensiS; Dromia rugosa, Dro-
mia minor; Nautilus danicus, N. bellerophon; Cypmea hullaria, C. spirata; Cerithium selandicum; Siliquaria ornata; Pleurotomaria niloticiformis; Terebratulina gracilis, T. striata ; Terebratula carnea ; Crania spinulosa ; Ostrea vesicularis; Mytilus angulatus; Arca crenulata, A. striata ; Ca.rdium m'assura, C. Schlotheimi, Iso cardia faxeensis.
TERRAINS NÉ OZOIQUES.
TERRAINS.
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tales de Saint-Gély (Flérault). Ces calcaires, reposant sur le terrain néocomien et surmontés par l'étage du Palotherium, contiennent une flore qui les rapproche des travertins de Sézanne et aussi des couches éocènes du Soissonnais.
M. L aube (i) a décrit les échinodermes du bassin VICENTIN. tertiaire du Vicentin: il a établi 65 espèces, dont 50 sont nouvelles
et 27 identiques avec des espèces éocènes du sud de la France. 8 espèces avaient été décrites par d'anciens auteurs sans que leur
gisement eût été précisé. Une des espèces nouvelles constitue aussi un genre nouveau, décrit par M. Laube sous le nom deChrysom elon
La comparaison avec les gisements éocènes français a fait recon-
naître à l'auteur la présence, dans le Vicentin, de l'horizon du. Goulet près de Biarritz et de la zone à Eupatagus ornatus, suivie d'un horizon caractérisé par le Cyphosoma cribrum. Les couches les plus modernes sont riches en scutelles et correspondraient aux gisements des environs de Bordeaux.
M. Suess (2) a également étudié les formations éocènes du ViTERRAINS TERTIAIRES.
centin, dans lesquelles il distingue, de haut en bas, les assises suivantes
Étage éocène. FRANCE. BASSIN DE LA MÉDITERRANÉE. M. Math e ro n (2) a étudié les calcaires lacustres du Montaiguet, près d'Aix, et de Grabels, calcaires caractérisés par les Strophostoma lapicida, Bulimus Ilopei, Pupa elegans, Limnffla aquensis, Planorbis subrotundatus, etc.
Ces dépôts reposent directement sur le terrain nummulitique et passent sous les grès à Lophiodons de Carcassonne et d'Issel. M. 111 a ther on les assimile au calcaire grossier parisien; ce qui lui semble justifier cette assimilation, c'est que le gronpe argilocalcaire de Cuques, qui couronne l'étage du Montaiguet, contient les Limna. Michelini, Planorbis Leymeriei, Achatina Marioni, c'est-à-dire une faune équivalente à celle des calcaires lacustres de Saint-Parres et de Provins. M. de Sap or ta range aussi dans le terrain éocène les calcaires concrétionnés à empreintes végé(t) Neues faltrbuch, 1868, 262. Bulletin de la Société géologique, XXV, 772. Bulletin de la Société géologique, XXV, 272.
IV.
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III.
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II.
I.
d. Couches de Laverda, avec Sanguiriolaria et Pholadomya Puschi. c. Couches de San gonini. b. Couches à polypiers de Crosara. a. Sables, grès et conglomérats à Eupatagus minutus. Marnes de Priabona avec Orbitolines et Serpula spirulacea. (lia faune
de ces couches a été assimilée par M. Hébert à celle de Biarritz). g. Calcaire coquillier avec Cerithium giganteum et nummulites, reposant quelquefois sur les tufs noirs de Ronca à Strombus Fortisi. f. Tufs verdàtres de S. Giovanni Ilarione. e. Calcaires à nummulites spira et schistes à végétaux de Navale. cl. Calcaires à Cyclaster an-tenus, Periaster Biarritzensis. c. Calcaire grossier blanc de M. Postale. b. Schistes calcaires à poissons de la Lastrara près de Bolca. a. Calcaire de Chiampo (rnembro). Tuf rouge brique de Spileo avec Rhynchonella polymorpha, Bourguetocrinus, etc.
Académie des sciences de Vienne, LVI (1867). - Neues Jahrb., 1868, 120.Académie des sciences de Vienne, LVIII, juillet isos.