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SITMENGEEIRGE ET
MIL.
qi cimente le tout est jaune, un peu argileuse, -et paraît identique avec telle qui forme le limon ; renferme également quelques fragments /empâtés, de même nature que iceux du conglomérat, mais beaucoup plus- petits et beaucoup moins abondants. La masse est constituée par une argif/ jaunâtre mélangée d'une forte proportion de poussière ponceuse,,et l'un y trouve également un assez grand nombre de monceaux de ponce. On peut, je trois, conclure de ce quibprécède que le limon et le conglomérat proviennent tous deux du ravinement par les eaux do la masse de tuf. Si rien :suppose, en effet, un courant -d'eau ou un -simple ruisseau passant /sur le trasz et le désagré-
geant, ce ruisseau formera d'abord son lit -de tous les cailloux les plus lourds qu'il aura enlevés, et pourra en fort peu de temps en accumuler ainsi une épaisseur assez considérable; ce lit prendra rapidement, par l'action même de l'eau, une forme régulière, horizontal au milieu et se relevant en /pente douce sur les bords. tes matières légères en suspension se déposeront au contraire lentement, et formeront. sur ce fond une couche bien distincte de la première, et présentant précisément avec elle les différences de coniposition,qu'en observe entre le conglomérat et le limon supérieur. Ces deux dépôts doivent donc être attribués au ruisseau, qui, dans la partie supérieure de la vallée., a entraîné presque toute la mass iu trasz, et qui, dans la partie inférieure, a fini, après avoir coulé à la SUTface, par abaisser peu à peu son lit jusqu'au niveau qu'il occupait primitivement sur les formations dévoniennes.
SIEEENGEIMIGE ET SWE'rE.
jrésiemi'.
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D'après les quelques points,que-jeviens -de
décrive, ion peut /voir igue les /environs du lac de taach pré-
sentent une série de formations /assez diverses, .qu'on peul grouper que :par les 'époques .auxquelles ,elles ont pane et-encore, /pour quelques-unes, l' age, exact/est-il Tort p eut /seulement, /en termes génédi fli ci I e à -dleterm er. raux, dire que les premières éruptions datent du commencement de la période, quatennaire/; iiI est à remarquer-g/If-on n'observe /nulle part des cratères de soulèvement : les schistes et les grauvvackes ont, été simplement/percés, et la position ides couches et la /direction de la schistosité mon-
trent qu'ils n'ont pas été /sensiblement dérangés de leur position .primitive. Les premiers produits qui soient venus au j-ruir mincit les laves proprement dites, -renfermant de faugite et de l'hailyne ou du péridot.; leur écume, ,cri se
solidifient sur les bords des ouvertures par où elles sortaient, a formé les éminences de scories qui nous indiquent aujourd'hui la position des anciens icrateres. 'C'est après l'apparition rie ces laves que se sont produites les érosions qui ont donné naissance au loess, iet qui, en divers points, ont raviné et détruit une partie des coulées; à ce tiroinent
m'aine, en effet, la vallée de Brohl a été le siège d'exploita-
ont commencé les pluies de cendres volcaniques, car en tromeassez :soumît les lapilli mêlés/au loess; souventaussi ils me /sont venus qu'après, et l'ont recouvert ; l'eau 'est intervenue fréquemment, soit en pluie naturelle, /soit dans eéruntion même, formant dans te second cas des iaves boueuses qu'il est à peu près impossible, d'ailleurs, de distinguer des dépôrts de tendres volcaniques -cimentées seulement .au moment de leur t linte. Les éruptions ponceuses paraissent avoir été le dernier terme 'de la sefie; c'est en effet par dessus les forrmations précédentes /qu'on
tions importantes, et le banc de tuf occupe une si faible
trouve l'épaisse ,couche de /sable /ponceux et de fragments
largeur au fond de la vallée que,-malgré son épaisseur, des travaux poussés avec activité doivent le faire /disparaître rapidement.
de ponces dont j'ai parlé en commençant; tes ponces ont été lancées seulement par les volcars des environs de Niekenich, car on me les retrouve pas a -l'ouest dis lac; 'elles
Peut-être aussi doit-on 'attribuer en partie la destruction du trasz à la main de l'homme. Dès l'époque ro-