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TERRAINS.
REVUE DE GÉOLOGIE.
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Calcaire compacte analogue aux schistes lithographiques de Soletiliofen. Exogyra virgula très-
Zone de l'Exogyra virgula.
a boudante. Calcaire blanc compacte d'Innwald et de Roczyni (Galicie). Brachio_
podes, lamellibranches et nérinées. Disparition presque comJura blanc plète des céphalopodes. (Ma lm) , Calcaires blancs compactes avec de Zone de la Rhynchonella assilex. Grand nombre de fossiles Quenstedt. tieriatia. bien conserves. blanc à Amm. polyplocus, Zone de la Rhyncli. trilobata Calcaire Rhynchonella trilobata, etc.En(Felsenkalk supérieur). tre Cracovie et Wielun. Calcaire
à
nérinées d'Innwald.
t Zone de la Rhynch. lacunosa (Felsetilialk inférieur). '
Jura brun (partie).
,
,Calcaires gris clair et poreux, entre Cracovie et Wielum Rhyuch. la!
eunosa ; grand nombre de Planulati. Zone de l'Ammonites cor- Calcaire blanc très-fossilifère; mir nes blarld), et lautleres; caldatus (A. Arduennensis). caire gris terreux. de l'Ammonites maero-ralcaire.
cephalus. (Zone
Il paraît que, dans la dernière zone, les espèceS calloviennes sont associées, à Balin, avec celle des étages bajocien et bathorilen.,
L'ensemble des couches jurassiques supérieures de la haute Silésie est très-concordant avec la série de la Souabe.
M. Per on (1) a étudié en Algérie divers affleurements intéressants du terrain jurassique supérieur, les uns sur les ALGÉRIE.
confins des provinces d'Alger et d'Oran, à Chellalah, Zerguin, etc., les antres dans la provinces de Constantine, au Djebel Seba. 'Les espèces communes à ces ,dépôts sont les Apiocrinus Roissyi, A. Murehisoni, Ciciaris glandifera, Ostrà, solitaria, etc. On y trouve aussi les Rhynchonella inconstans, Hinnites inquistriatus, Glyptiens hieroglyphicus, Mactromya. rugosa, 1\iucula Menkii. M. Per on range ces dépôts sur l'horizon de l'étage séquanien,
tout en reconnaissant qu'ils peuvent et doivent représenter une période de temps plus considérable que celle qui correspond à l'étage séquanien seul.
M. Co t teau (o), qui a examiné les oursins provenant de ces dépôts d'Algérie, pense également qu'ils doivent être rangés sur le même horizon que les couches supériedres de Tonnerre et de la
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Limite entre le terrain jurassique et le terrain crétacé. Comme l'année dernière (1), l'importance des débats relatifs à la limite supérieure du terrain jurassique nous engage à consacrer à cette question un chapitre spécial. On sait gué pendant quelque temps la discussion a été circonscrite aux environs de Grenoble, dans les célèbres calcaires de la
Porte de France. Aujourd'hui, par suite de l'assimilation de ces calcaires à ceux de Stramberg dans. les Carpathes, de nouveaux éléments de discussion sont venus s'ajouter à ceux qu'on possédait déjà. C'est ainsi que M. Zi ttel (.2), successeur, d'Opp el dont il continue la tradition, a cherché à délimiter l'étage tithonique en comparant les Alpes françaises, avec les Carpathes. Suivant lui, la limite inférieure de l'étage serait, à Grenoble, entre la couche à grands aptychus et les calcaires à Terebratula janitor. La limite supérieure serait entre ces derniers et le calcaire à ciment, contenant la faune de Bernas. Dans l'étage ainsi délimité, M. Zi ttel distingue deux niveaux : l'inférieur, comprenant les couches coralliennes du mont Salève, près de Genève, le Klippenkalk des Carpathes, le calcaire à Terdiphya du Tyrol méridional, le corallien de Wim mis (Suisse), c'est-
à-dire les calcaires à Terebratula moravica ; et le supérieur, c'està-dire le niveau des calcaires à'céphalopodes de Stramberg.,Le niveau inférieur a plus de rapports avec le terrain jurassique, tandis que la faune du niveau supérieur a plutôt une apparence néocomienne.
M. Hébert (3), à la suite d'un voyage à Stramberg, après avoir constaté que l'étude directe de cette localité, ne peut apporter beaucoup de lumière dans le débat à cause de l'absence de stratification dans le massif calcaire, s'est attaché à prouver, par l'examen des fossiles, que l'étage tithonique doit être cotnplétement séparé du terrain jurassique; qu'il repose sur la zone à Ammonites terinilobatus, zone oxfordienne, suivant- M. Hébert ; que clé Quenstedt) font défaut les couches du jura blanc ()., 6, enfin que la plupart des Ammonites du tithonique sont, en réalité, des types connus depuis longtemps dans le néocomien
Rochelle. Revue de géologie, VIII.
Bull. Soc. géol. XXVI, 517, - Revue de géologie, VIII. Bull. Soc. géol. X_Xla, 525.
Bull. Soc. géol., XXVI, aie. - Palontologische Studien ueber die Grain sekichten, etc. Die Çephalopoden der Stramberger Schichlen. Stuttgart. Bull. Soc. géol., XXVI, 588.