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APPLICATION DU SYSTÈME BOGIII(OLTZ.
APPLICATION DU SYSTÈME BOCHKOLTZ.
tribuait à faire remonter les tiges de 35 millimètres en-
L'effort total tendant à faire remonter la maîtresse-tige, lorsqu'elle est au plus bas de sa course est donc de :
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viron avant l'admission de la vapeur ; voyons dans quelle proportion ce poids est exagéré. La pression de la vapeur comprimée sous le piston, par suite de la fermeture anticipée de la soupape d'équilibre est de i",55 (voir le diagramme), et elle produit sur le piston un effort de
8827 + 11.9201= 20.747'
avant l'ouverture du condenseur, et de 15.029 +1.1.920 =26.949k
kilogrammes.
1.'51 . 79
21.168
1ko33
auquel s'ajoute l'effet de la pression atmosphérique sur la tige du piston. . .
Total
221
21.589
après l'ouverture du condenseur. Or l'effort moyen qui produit la levée de la maîtressetige est de : 50.260 = 22.190'.
dont il faut déduire la contrepression avant l'ouverture du condenseur, qui est
de1m2,53, 93>< 11,035 x o',79
Il reste donc un effort effectif de
2',265
12.562
8.827
Mais aussitôt que le condenseur est mis en communication avec le cylindre, la contrepression tombe à o",4o, et l'effort exercé par elle sur le piston à . 93x ik,033 x o",/to = 6.560",
Ce qui laisse comme effort effectif sur la face inférieure du
piston, un effort de .21.389 6.360=15.0291.
Le poids oscillant, de son côté, est de' 54.400 kilogrammes en chiffre rond, son bras est égal à ceux du balancier contrepoids, il produitsur la maîtresse-tige, au commencement de la montée, une force supplémentaire :
Donc, dès que la communication avec le condenseur est ouverte, la maîtresse-tige doit remonter, avant même qu'on introduise la vapeur. Pour empêcher cette remonte spontanée, il faudrait réduire de 4.759 l'action du poids oscillant, ou l'action de la vapeur comprimée en faisant commencer plus tard la compression. Pour mettre en Rendement théorique de la machine. rendeévidence l'influence du Bochkoltz, je vais calculer le la machine sur laquelle nous avons opéré,
ment théorique de dans le cas où elle ne serait pas pourvue de Bochkoltz. Pour
le chacela je prendrai tous les chiffres calculés dans pitre III, qui se rapportent aux conditions moyennes de Marche , conditions peu différentes de celles que nous avions au moment de l'expérience. Travail utile. Le travail utile des pompes -= (p
F
54. 4001 x sin « cos p
cm (.± (3)
étant le demi-angle (l'oscillation du balancier .= /8"54'6", étant l'angle que fait la bielle avec la verticale = 20 04", d'où = 11.9201.
P, + P,)
c'est-à-dire (16.4001 + 1.0561,283 + 701,685) x ',3oo=ljo.3is kilogrannnètrt-s.
lravail de la vapeur. Le travail brut 'a développer par
la vapeur T, pendant une excursion, doit être égal au pro-