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100,00
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1u2eldille?, .913,Wi`e'él183'35 79À.0314»,60s /00,00
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-)uplitiobi tatidis que l'analyse inîm édiatg_idonnel-nrio. rtf,Sn meattkreens rocloatees ,2o9,5
et
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100,0
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36,5 63,5
et
35,6
TÉ
100,0
c'est -à-dire que les houilles du Nord son;,d,_C1?_arladoxis.,.i graSipi7;*aireS, celle d'Anzin même presque 9J-barbon tà coule flamme, lorsque les deux houilles de Saarbrück sont des charbons gras à longue flamme. Or les pouvoirs caloriques sont respectivement Pour DENAIN.
ANZIN.
DUTTWEILER.
9050
9257
8724
SULZBACII.:
8603 calories.
On a donc ici encore,' pour des compositions élémentaires fort semblables, des différenceSde caloricité variant de 5o o à 600 calories, différences qui croissent et décroissent dans le même sens que les proportions de coke.
Enfin, en poursuivant encore l'examen du tableau, on voit aussi que, pour les autres houilles, le pouvoir calorifique varie dans le même sens que la teneur en carbone fixe.
Les charbons les plus pauvres en coke développent le moins de chaleur. Ainsi le charbon
calories.
604 de coke et produit 8462
De von der Heydt laisse. .
.
Celui de Friedrichsthal. .
.
Celui de Montceau Celui de Lbuisenthal..
.l61,LJ1iii
.
58,5 59,0
117
ET CL ASSIFIGAITION, HES HOUILLES.
8457 8325
82'5
1.-y a cependant la aussi quelques anomahes.-Iouisen, eele'`MbEteéà,e(güne-et,Loire); Par .exemple, développént lupins ,de chaleur que le Èriedrichsthal, tout en 9 5:8,t, laissantHpluscee, coke ; et Louisenthal fournit 247 calories de moins-que 'Von der Heydt, quoique les proportions de Coke soient presque identiques. Cela doit tenir très-probablement à la circonstance que, dans les matières volatiles elles-mêmes, les trois éléments ne sont pas toujours constitués de la même façon. Malgré cela, il n'en est pas moins vrai que le pouvoir calorifique décroît d'une manière générale avec la propor-
tion de coke, et cpielanalyse immédiate peut ainsi conduire, d'une fae"aPproximatixe, au Pouvoir calorifique. Cependant il convient de faire remarquer encore que la proportion de coke décroît plus rapidement que le pouvoir calorifique. En comparant les extrêmes, on trouve Pour le rapport des pouvoirs calorifiques. Et pour celui des proportions de coke
.
.
9622
80,4 59,0
,--- 1,17 1,36
Cette réserve faite, il n'en demeure pas moins vrai que l'analyse immédiate fournit une image plus vraie des propriétés essentielles des houilles (pouvoir calorifique, pouvoir agglomérant et cendres) que l'analyse élémentaire ; et, comme elle exige d'ailleurs beaucoup moins de temps
et d'habileté, elle est en tous cas préférable au point de vue industriel. J'ajouterai qu'en poursuivant l'étude des diverses classes de houille, j'aurai l'occasion de faire ressortir, par d'autres exemples encore, le contraste que présentent bien souvent entre elles l'analyse élémentaire e l'analyse immédiate.
Quant à présent, je voudrais appeler l'attention sur un autre fait qui se dégage aussi du tableau précédent Le pouvoir calorifique .réel de tous les combustibles, à