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EFFONDREMENT DE Lk MINE
SEL GtElÀ.â
galeries. Tee' huibUr 66 'à 80 ètree, niefai'sSemerit étai' cA41fri fe. à'ïè toit des igal'érlês s'étai:à-ft rejoints'. Au delà, la péiiireiori dés .piliers 'dans le mai dela toiiche'était seulêMeut parti`ellé et de mbins en MOiriSàêPeild,' kfMeSiirelii"O'n'eedeSait des limites de llOitatildn pua& d'éteèjria,"rifiêneiSP1'dê là mine aval-eu:fie pente akefid'alrité'CY le pue Wie'-fisti une Pêdte deséendantè (fi' 51. rrO'Pl)10 1 -Maiangfeedes f "' > Pillèr'Szaalent éclat (j 90 partie,, e,a hauteur eceuxci; ci ; les doyaux qui restaient'délYodt4taietifrecôùpés, dans plusieurs sens, par des,iêntes,fu.cuon55. verticales. .Pcy-niflr? Le 5 novembre, on viSitales traVaux-de la 4e couché. Ils avaient eâàicipé l'là.ftai'SeériiïiIi'ilàneittoc du niaSSitd'ê &o mètres rayon a.-?ditit'Olg ea n° On .
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trOuva en bon état., quelfidéS9ii`i4gleïtent prOduites au faîte des galeries, en b, c, d, f
Les trois
Préinières donnaient respéetivenierit'i litre, 3 et 5 litres d'eau par minute ; en f, il n'Y' avait qu'un simple suintement. Le g, on reconnut qu'il s'était déclaré au toit des travaux de la 4. couche, à l'ouest et aU ddrd-ouest d'autres fissures donnant 17 litres d'eau Parlidietê).' D'après les faits constatés dans la i° couche ehapportés ci-dessus, il est évident que l'effondremenCèsedû à ce que les marnes formant le sol de là pairie ont cédé, comme une matière. plastique, sous la pression des piliers. L'eau injectée contre-les fronts de taille, sur toùt le pburtour de l'exploitation, poutprat.quer es en al'11 t es, re om ait sur cette marne et s'y infiltrait en partie. Le reste reec1W nait au bassin situé' plià dit 'puits,' par Une- 'longue séri'à de chéneaux en bois de m, 15' ËË'Profondidiir, desquels elle débordait souvent, soitqu'ils ue fussent pas maintenus ho-
rizontaux, soit qu'ils fussent remplis de boue 'marneuse, faute d'être curés assez fréquemment. Cette eau, dont le degré de saturation ne dépassait pas 2o°, a dû dissoudre plus ou moins complètement les lits et les filons de sel
625 na., ao cfn, intercalés;daris r ifaireirenfler les ,ii la, rnririê,. jimprégne1.(.1 _1« , rclimerimpés,, rogdons.d'anheyiV q1.3.),Jy enfin; dé,, DE VARANGÉVILLE-SA1NT-NICOLAS (MEURTDE -ET-MOSELLE) .
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coakpoSer, par mg,egç qna/2e`,,dissq.'ution lk itn is t
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con.Cour'aient la concsisecq,du sol, de-Ut/ la Mine,. ,fir: 8 a.) :gétrub're , tt,111 8,Ofit Si ...o.
14')ainollisseme janirp.é ifflencore facilité par les noin4rçuses e,i;cavej,o,11squx taieqç.pratiqué,es les prin8.5,11([ O' 8.5 u, çee,a191,étq,i9itilereits4,rdniu pàiitsohfosse de la pa,chine et o-.1és ayaqtsjugli'à 2u; '5d'cleaprofoneur qu'on avait lêà -1119.1t 0, ,f1 9ftlf,ft fiffil t-51
dû,reri raison de l'hici)110090inaison de. la couclie, creuser dans 51511t1,1P.131...:i, P3r.
toute la partie nord9.01.111 d, tuhamp
d'efploitation pour ramener au puits les eaux5,)saturées. C'sst.clans le voisinage du puits (IO 711S17.f.;Ii 2.
étalent surtout, nombreuses et pro4 U(111 3,01(.1. Sit) J.I.MillUC:?11,/ , e çes excavations fonds; c'est la,- ausstire la ..uma marpenev.; était soumise, depuis le plus ongtempsà1 uence dê llair et 1'etiuUau, C'est clone '.11,15.59 8 Viir-.811 POIJILOOp /.
là que sa cohéslon. a-vait c\isparu).le plus corpplétèmeri misur Ji 11, I J, _ru la plus grandéprufoild'êtir. flan rayop çie p 0, àl 8d dyu Lia:y-kt I
tres autour du puits, la, passê était Fiev.enue, suffisaginient f ma lame pour de-les pilierâ.pussent s'y enfoncer dê toute 9.1,1y.:30 11.1,10 8 -enstiiv,) leur hauteur. ers ire contour de l'exoloita,tiou, au contraire; le mur n avait encore rien perdu de sa solidité. Dans d91,01 7'1 Jt1f3f5fItt !).11ifflill'I.1;`,Ct DEO, lar zoneJO m emédiaire,le rniollissement.de la marie était .4 [ISM et) 1,1,',A1W5 8 Of ....1.10!) p flistance du. putts.,,Qn a,v,,ançé amant .519f0.3.111f10,o,) t uni) tf1901V., s',4x,plique donc aisément eurcruoi,la _pénétrationLI1Sit des ,pi.1t1.11tr101 ktroltait '>1.02 liers dans ries marnes -complète dans' uprrraypn9de G rfOlee5'.1(1 tics, jmirs e!) ffN
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